Un peu de cafard tente de s’insinuer en moi... Je lui résiste...
Mes pensées vagabondent, volent et virevoltent dans une rocambolesque valse inachevée... Un peu attristée...
Pourtant je me suis fait plaisir en allant avec mes deux Mousses, faire un petit tour à l’aéroport, histoire de nous assurer que « nos » hydravions dormaient encore profondément, attendant que le soleil printanier ne les sorte de leur torpeur...
Malheureusement notre arrivée coïncida avec la fermeture de l’atelier. Notre visite à l’intérieur fut écourtée et nous allâmes plutôt nous promener sur le bord de la piste.
Le petit Elliot se montra plus impressionné par la motoneige de mon Énigmatique Frérot que par ces dizaines d’avions stationnés en rangs d’oignons. Et malgré l’intérêt plus marqué de Matis, le vent frisquet nous ramena illico presto à l’auto. Une prochaine escapade sera planifiée lorsque le doux temps aura la gentillesse de s’installer pour de bon.
Malgré tout, j’ai un goût amer à l’âme, sans trop comprendre...
J’ai l’impression qu’il me manque... quelque chose, quelqu' un... La sensation d’être un esprit erratique n’aboutissant nulle part, ne prenant que trop peu de repos de crainte de passer à côté de ce « je ne sais quoi »...
Est-ce encore en lien avec mon « amputation » de l’an dernier? Une autre étape? Ou simplement un coup de fatigue?... Trop de questions, si peu de réponses...
Je fermerai donc cette page de vie sur cette envolée...
Double tristesse oblige...
Je vous expliquerai demain...
Mes pensées vagabondent, volent et virevoltent dans une rocambolesque valse inachevée... Un peu attristée...
Pourtant je me suis fait plaisir en allant avec mes deux Mousses, faire un petit tour à l’aéroport, histoire de nous assurer que « nos » hydravions dormaient encore profondément, attendant que le soleil printanier ne les sorte de leur torpeur...
Malheureusement notre arrivée coïncida avec la fermeture de l’atelier. Notre visite à l’intérieur fut écourtée et nous allâmes plutôt nous promener sur le bord de la piste.
Le petit Elliot se montra plus impressionné par la motoneige de mon Énigmatique Frérot que par ces dizaines d’avions stationnés en rangs d’oignons. Et malgré l’intérêt plus marqué de Matis, le vent frisquet nous ramena illico presto à l’auto. Une prochaine escapade sera planifiée lorsque le doux temps aura la gentillesse de s’installer pour de bon.
Malgré tout, j’ai un goût amer à l’âme, sans trop comprendre...
J’ai l’impression qu’il me manque... quelque chose, quelqu' un... La sensation d’être un esprit erratique n’aboutissant nulle part, ne prenant que trop peu de repos de crainte de passer à côté de ce « je ne sais quoi »...
Est-ce encore en lien avec mon « amputation » de l’an dernier? Une autre étape? Ou simplement un coup de fatigue?... Trop de questions, si peu de réponses...
Je fermerai donc cette page de vie sur cette envolée...
Double tristesse oblige...
Je vous expliquerai demain...
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