J’ai dans la tête, un air de Luce Duffault:
« ...Je m’ennuie de ma mère
D’un enfant qui joue
D’un cheval de lumière
Je m’ennuie de nous... »
Pourquoi?...
Parce qu’en revenant du cinéma tout à l’heure, je suis restée à observer les étoiles et le croissant de lune, et j’ai réalisé qu’un petit bout d’ennui était collé sur mes ailes...
...je m’ennuie de ma Douceur ma Belle (beaucoup même...), de ma mère, des soupers délirants avec mon Gendre Adoré... Je m’ennuie de ne plus voir les yeux de mon père briller...
Je m’ennuie de mon quai... J’ai hâte tout à coup, de me retrouver à nouveau tout au bout, étendue sur le dos, à chercher mon étoile...
...la plus brillante, celle qui éclairera ma route, celle qui me guidera...
J’ai hâte d’entendre le clapotis de l’eau, voir miroiter les reflets argentés d’une lune aussi ronde qu’un ballon gonflé à l’hélium, qui s’envolerait là-haut, tout là-haut...
« ...Passe le temps de se connaître
Jamais le temps de s’oublier
Des voix que l’on voit disparaître
S’ennuyer
Passe le temps de se connaître
Déjà l’enfant de s’en aller, de s’en aller... »
...les paroles échappées de la bouche d’un ange hier, semblent vouloir me porter vers peut-être, je me le souhaite, ce qui sera mon premier véritable grand pas de géant...
...après tout, pourquoi entretenir la culpabilité si la peine n’existe plus dans l’ « autre coeur »...
p.s. J’avais reçu un « ordre verbal » de ma Chirurgienne en Chef Amie L. de ne pas m’attarder à écrire trop longuement ce soir pour me coucher tôt... je n’ai pas écouté... Ce sera tant pis pour moi demain!
« ...Je m’ennuie de ma mère
D’un enfant qui joue
D’un cheval de lumière
Je m’ennuie de nous... »
Pourquoi?...
Parce qu’en revenant du cinéma tout à l’heure, je suis restée à observer les étoiles et le croissant de lune, et j’ai réalisé qu’un petit bout d’ennui était collé sur mes ailes...
...je m’ennuie de ma Douceur ma Belle (beaucoup même...), de ma mère, des soupers délirants avec mon Gendre Adoré... Je m’ennuie de ne plus voir les yeux de mon père briller...
Je m’ennuie de mon quai... J’ai hâte tout à coup, de me retrouver à nouveau tout au bout, étendue sur le dos, à chercher mon étoile...
...la plus brillante, celle qui éclairera ma route, celle qui me guidera...
J’ai hâte d’entendre le clapotis de l’eau, voir miroiter les reflets argentés d’une lune aussi ronde qu’un ballon gonflé à l’hélium, qui s’envolerait là-haut, tout là-haut...
« ...Passe le temps de se connaître
Jamais le temps de s’oublier
Des voix que l’on voit disparaître
S’ennuyer
Passe le temps de se connaître
Déjà l’enfant de s’en aller, de s’en aller... »
...les paroles échappées de la bouche d’un ange hier, semblent vouloir me porter vers peut-être, je me le souhaite, ce qui sera mon premier véritable grand pas de géant...
...après tout, pourquoi entretenir la culpabilité si la peine n’existe plus dans l’ « autre coeur »...
p.s. J’avais reçu un « ordre verbal » de ma Chirurgienne en Chef Amie L. de ne pas m’attarder à écrire trop longuement ce soir pour me coucher tôt... je n’ai pas écouté... Ce sera tant pis pour moi demain!
Commentaires
- de mes amis, des miens si loins...
- du printemps, du soleil sur la terrasse et sur ma peau...
- de l'insouciance...
- d'un salaire, souvent...
- et de celui qui fut mien malgré la distance et que mon coeur ne veut pas cesser d'aimer...
Mais la Vie, en bonne amie, me prend la main et me désigne l'horizon... Elle me sussure à l'oreille que tout viendra à point car j'ai appris à attendre. Et je la crois ...
N'empêche... vivement le printemps!
xxx