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23hres01

J'arrive de garder... Je ne prends même pas le temps d'écrire un brouillon sur Works (je sais, j'ai le plus quétaine des programmes de traitement de texte, mais je n'ai pas d'argent pour le Words ou quelque chose du genre...)

Ma Précieuse Esthé et moi avons fait du placotage d'escalier (vous savez, le genre "manteau sur le dos, main sur la poignée de porte", mais une heure plus tard toujours dans la même position...). Bon, je vais me coucher plus tard c'est évident. Mais ce fut pour moi un bon moment alors je ne ressens aucune culpabilité. Demain est un autre jour, et il passera comme tous les précédents...

En plus, j'ai pris le temps de lire mes messages sur Hotmail avant de venir vous rejoindre... Beaucoup de délinquance et de laisser aller en moi pour une même soirée... Est-ce que je serais en train d'appliquer un certain lâcher prise sur ma vie régentée? Peut-être bien après tout...

Et pourquoi pas, finalement??...

À bien y penser, il serait peut-être temps que je mette mes "culottes" une fois pour toutes et que je fonce d'avant...

Je vais dormir là-dessus... Peut-être qu'un ange viendra pendant mon sommeil, faire un peu de ménage dans mes pensées...

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier