Passer au contenu principal

D’une rando à l’autre


Je vaquais à mes occupations d’un mercredi matin, ressemblant somme toute, goutte pour goutte, à tous les autres matins, quand la question « thème-du-billet-du-jour » s'imposa.
 
Ayant rassemblé les objets qui feraient le 6-du-Défi-minimaliste, je ramassais les papiers éparpillés ici et là, résultant de lectures également éparses, quand je mis la main sur un article de la revue Virage (décidément inspirante!) : « Vertigineuses randonnées, d’un château fort à l’autre »*.

Dans l’esprit de la rando du Chemin des Outaouais, je l’avais conservé, pensant que ça pourrait être un beau défi (oui Ami Mam… encore un autre!!!...) pour 2020. Je m’étais même dit que peut-être l’Amie Lib serait partante.  
 
Toujours est-il

Cette randonnée concerne le sentier Cathare, aussi connu comme le GR367, dans le sud de la France. Un trajet de 244km (ce qui serait parfait si le 240 prévu en juin s’avère une réussite !), de Port-La-Nouvelle à Foix en passant par les montagnes de Corbières et de l’Ariège.

L’intérêt pour cette activité était né des mots : châteaux médiévaux, Méditerranée, décors saisissants, clochettes de vaches, minuscules hameaux, champs de vigne…

Et qui dit vigne dit…

Dans la même câline de revue**, j’avais aussi découpé une phrase inspirante dans le cadre de la section art de vivre : « On doit faire ce que l’on pense être incapable d’accomplir. »*** 
C'est un peu ce que je me dis...

Pour l'instant, aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec une marche d’au moins 5km dans les rues de la ville!... Ben quoi? Y’a un début à tout!

* Virage, printemps 2019, p. 58-59
** Virage, printemps 2019, p. 75
*** Philosophie de M. Roger Cloutier, un aîné de 80 ans qui, après avoir récolté moult diplômes de toutes sortes, étudie maintenant les mathématiques dans un centre pour adultes…

Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

Acculée au pied d'un mur...

... Vendredi soir: je suis accroupie au bas de cette immense porte de plexiglas refermée sur les secrets d’années de vie d’un commerce devenu fantôme... ... J’ai le visage tourné vers ce soleil, à en gober jusqu’au dernier atome d’énergie qu’il peut me fournir en cette fin d’après-midi automnal... ... Suis en baisse... Heureusement, P’tit Bonheur et Méo se trouvent près de moi... Fidèles amis... Le « Nous vous donnerons une réponse, au plus tard la semaine prochaine. » est maintenant chose du passé... et comme le « temps n’est rien »... alors, ne me reste plus qu’à attendre « LA » bonne semaine prochaine!!!... Mode attente, une fois de plus... Est-ce que le simple fait d’avoir passé l’entrevue téléphonique suffira à m’avoir fouetté suffisamment les sens ( et le sang ) afin que je poursuive ici ma route, dans le quotidien de mon « petit fond de rang »??... ... À suivre... Comme de raison... Mais voilà! Il me semble que ce soir, j’en ai ma claque de me sentir raisonnable. D’être « comme

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau recueillie à même la source.  Pour la san

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)