Déjà
une semaine que le Défi minimaliste bat son plein. Ça se passe très bien. Je
crains même de manquer d’objets à me délester d’ici la fin!
C’est
que j’en ai fait des cures d’allègement dans les dix dernières années :
2008, quand ma Vie s’est scindée en deux; 2009, en préparant les boîtes pour
Kuujjuaq; 2012, deux fois plutôt qu’une (home staging et vente de la petite-blanche-du-fond-du-rang); 2014, tri au départ de Kuujjuaq; 2015, en
dépouillant l’entrepôt où reposait ma Vie; 2018, en changeant d’appart… Bref…
Aucun
doute qu’un jour je ne possèderai de mobilier, que ce qui me tiendra le plus à cœur,
et que mes souvenirs n’auront qu’à se tenir bien tranquilles et comme bon leur
semblera, dans l’étroit espace qui leur sera alloué dans mon cerveau…
Ce
matin je donne un grand coup. Je choisis de me départir du mobilier de chambre
à coucher, celui acheté alors que j’avais 20 ans, fraîchement émoulue du
Collège du Nord-Ouest, au programme techniques infirmières. Un premier gros achat
pour mon trousseau (!) avec une paie qui se voulait à $13.00/heure… Quand même…
Heureusement que les Temps changent…
Il s’agit
de meubles en pin de fabrication québécoise. Comme son cœur est tendre, les
traces d’usures sont incluses et sans surplus.
Je
fixe le montant de départ à $500… matelas inclus! Prix ridiculement bas si on
considère son âge vénérable et son allure un brin exclusif…
Sera
laissé au
plus offrant. Contactez-moi personnellement en me laissant une adresse courriel
à laquelle je pourrai vous rejoindre.
Ça c’est
au cas où vous habiteriez Ouveillan et que j’aurais à vous le faire parvenir
via transport maritime… 😉
Commentaires
Cela lui fera un beau souvenir.