J’ai ouvert les yeux sur cette
toute nouvelle journée après une longue et reposante nuit de sommeil peuplée de
rêves « illicites »…
Passons…
Il était l’heure sans que je
ne sache au juste ce qu’elle pouvait être. La lumière du jour tentait tant bien
que mal de percer l’opacité du store à lamelles blanches abaissé pour préserver
quelque peu de mon intimité, exposé aux regards du Voisin et des véhicules
circulant au ras de mon nez.
Réalité d’habiter dans un
sous-sol…
Après quelques étirements
langoureux, la première véritable pensée alla à mon plan du jour. La réalité me
sauta aux yeux une fois de plus : au programme j’avais... un gros RIEN!!!
RIEN à faire de précis de
toute la journée. Ni bénévolat, ni visite à Papa Fitzsou… RIEN…
... qu’une marche
avec Méo, trouver la motivation pour plâtrer les trous de clous des murs de la chambre, faire
le tri de mes milliers de photos, imprimer les quelques documents de fin d’emploi que je n’avais pas encore pris le Temps de faire, écrire quelques billets
à l’avance, aller reconduire Méo à la garderie, préparer mon sac à dos pour…
Ouin! Je n’avais vraiment
RIEN que des pacotilles de tâches prévues pour aujourd’hui!!!...
Et ce sera ça pour tous les
matins à venir… ou presque!
C’est ça être une vraie GAGNANTE
À VIE… de la VIE!!!!
« Au
bouleau (sic)! », Amos, janvier 2015
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