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La mort de Marie-Ludivine...

10 décembre… J’avais donné image corporelle à cette Marie-Ludivine, en fuite imaginaire depuis un an…

Il m’avait semblé que la petite chatte ayant élu domicile, curieusement à la même adresse civique que la mienne en Abitibi, avait le physique de l’emploi. Ça m’avait paru aussi clair qu’elle était colorée...

Quelques jours après avoir écrit ces lignes, j’apprenais que la chatonne avait rendu l’âme dans des circonstances plutôt ténébreuses pour ne pas dire gênantes pour certains professionnels…

Je ne ferai le procès de personne ici, ce n’est pas le but de ce blogue, mais je veux juste dire qu’il est triste parfois de constater combien certaines personnes évoluent dans le temps en perdant l’essence même du pourquoi ils ont étudié si longtemps…

Dommage que s’envole ainsi leur « passion »…

photo:" À la douce mémoire de...", Kangirsuq (sous toute réserve), mai 2010


Commentaires

Le factotum a dit…
Dommage, tristounet ...
De quoi faire la lippe ...
Bonne journée!
Dites-moi, c'est bien à Kangirsuk n'est-ce pas?
Le factotum a dit…
Oui, madame Fitzou!

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Paul Piché - L'escalier

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...