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Relaxer à...

… New-York? Mon nouveau dada… À cause d’une pub que j’avais parmi la dizaine de messages dans ma boîte de réception il y a de cela quelques semaines…

Je me voyais prendre le bus après une nuit passée au Gouverneur sur Ste-Catherine/St-Hubert… Arpenter les rues de New-York, y manger, y magasiner…

Juste voir... Me faire accroire la vie de Princesse... Rêver à… Comme si j’avais besoin de ça pour rêver…

Oh!… je crois que…

… J’aimerais tout aussi bien le Dorset Manor Spa à Port Hope, Ontario… Quel beau nom de ville… Port Hope… $375.00 pour une nuit, $550.00 si c’est du vendredi au dimanche… Suis-je supposée trouver cela économique???...

On dirait bien, à les lire, que c’est ce que ça prend pour arriver à relâcher notre stress… Non mais… On nous prend pour des valises ou quoi?

La forêt, la neige qui tombe doucement… Une marche sous les étoiles, le crépitement d’un feu, les flammes qui dansent pendant qu’on sirote un verre de vin…

N’est-ce pas là, l’une des meilleures façons de relaxer?…

photo:"Le 753ième lever de soleil sur...", Kuujjuaq, décembre 2011

Commentaires

Le factotum a dit…
La forêt, la neige qui tombe doucement…

Mais tout comme moi, ce soir!

Bonne soirée!

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier