Samedi. J’avais depuis la veille, choisi d’assister à la fête des enfants organisée par le nouveau Comité social de mon organisation. Ça devait avoir lieu à la Co-op Hotel. Je sais, ça ne vous dit rien. À moi ça disait : « Trente-cinq minutes de marche pour aller… et si je le décidais, trente-cinq minutes pour revenir … »
Réalité du Nord (et de partout ailleurs!) quand on ne possède pas de voiture…
Si je décide de participer à une activité vingt-quatre heures à l’avance, je m’efforce d’aller jusqu’au bout de mon idée. Le problème avec les Anges (et c’est bien connu) c’est de passer notre temps à envoyer des paroles en l’air… Hum… à moins que ce ne soit un problème vraiment personnel…
Allez savoir…
Toujours est-il que ce samedi-là, je suis passée à l’action. C'est lorsque j’eus à vue l’hôtel, que tout à coup se précipita vers moi, un véritable toutou tout droit sorti d’un film de Disney. Couché sur le dos, il m’a joué le coup du « flatte-moi la bedaine »…
Habituellement je ne réponds pas à ces quémandeurs. Mais lui, lui là…
Son poil était duveteux comme celui des peluches dans les boutiques. Ses grands yeux bruns doux me regardaient sans insistance mais avec persévérance. Et ça m’a plu… Il aurait pu gagner mon cœur s’il n’avait eu au cou, signe que déjà…quelqu’un lui appartenait(!)...
Ouf! Je l’ai échappé belle!
Photo : « Beau comme un cœur », Kuujjuaq, décembre 2011
Réalité du Nord (et de partout ailleurs!) quand on ne possède pas de voiture…
Si je décide de participer à une activité vingt-quatre heures à l’avance, je m’efforce d’aller jusqu’au bout de mon idée. Le problème avec les Anges (et c’est bien connu) c’est de passer notre temps à envoyer des paroles en l’air… Hum… à moins que ce ne soit un problème vraiment personnel…
Allez savoir…
Toujours est-il que ce samedi-là, je suis passée à l’action. C'est lorsque j’eus à vue l’hôtel, que tout à coup se précipita vers moi, un véritable toutou tout droit sorti d’un film de Disney. Couché sur le dos, il m’a joué le coup du « flatte-moi la bedaine »…
Habituellement je ne réponds pas à ces quémandeurs. Mais lui, lui là…
Son poil était duveteux comme celui des peluches dans les boutiques. Ses grands yeux bruns doux me regardaient sans insistance mais avec persévérance. Et ça m’a plu… Il aurait pu gagner mon cœur s’il n’avait eu au cou, signe que déjà…quelqu’un lui appartenait(!)...
Ouf! Je l’ai échappé belle!
Photo : « Beau comme un cœur », Kuujjuaq, décembre 2011
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