J’attends impatiemment mon Amie S, qui a gentiment proposé la sortie cinéma. Yes! Une soirée de Filles pour aller voir un film d’ado…
Cool, ça non?
Pour le reste, journée grise mais sans vent, pour ce jeudi, somme toute, sympathique à marcher. L’air était pur et frais (selon la yogini Américaine rencontrée ce midi à la Régie, ce serait extraordinairement pur ici… Toujours ça de pris!...).
On respire bien. Quand on lève le nez en l’air, ça sent presque l’hiver, mais en plus doux. Tout arrive à point à qui sait attendre. Je suis certaine qu’il y a des tas de Kuujjuamiut qui rêvent de monticules blancs, dévorés par des courroies cloutées sur fond bruyant…
Vous me suivez?...
Pendant ce temps, les chiens de traîneaux hurlent à la lune, attendant de s’engager, eux aussi, sur les sentiers blanchis. Ainsi va la vie, au Nunavik…
Par ailleurs, j’ai vu que ma Douceur ma Belle avait glissé quelques unes des nombreuses photos croquées au Nord. J’ai bien peur que certaines d’entre elles se retrouveront aussi sur ce blogue…
Celles qui reflèteront la nudité du paysage, l’impression d’infini et d’infinie tendresse se dégageant d’une Mère et de sa Fille…
photo:"Impression d'infinie... tendresse", rivière Koksoak, septembre 2011
Cool, ça non?
Pour le reste, journée grise mais sans vent, pour ce jeudi, somme toute, sympathique à marcher. L’air était pur et frais (selon la yogini Américaine rencontrée ce midi à la Régie, ce serait extraordinairement pur ici… Toujours ça de pris!...).
On respire bien. Quand on lève le nez en l’air, ça sent presque l’hiver, mais en plus doux. Tout arrive à point à qui sait attendre. Je suis certaine qu’il y a des tas de Kuujjuamiut qui rêvent de monticules blancs, dévorés par des courroies cloutées sur fond bruyant…
Vous me suivez?...
Pendant ce temps, les chiens de traîneaux hurlent à la lune, attendant de s’engager, eux aussi, sur les sentiers blanchis. Ainsi va la vie, au Nunavik…
Par ailleurs, j’ai vu que ma Douceur ma Belle avait glissé quelques unes des nombreuses photos croquées au Nord. J’ai bien peur que certaines d’entre elles se retrouveront aussi sur ce blogue…
Celles qui reflèteront la nudité du paysage, l’impression d’infini et d’infinie tendresse se dégageant d’une Mère et de sa Fille…
photo:"Impression d'infinie... tendresse", rivière Koksoak, septembre 2011
Commentaires
J'hésite encore, car étant un brin paresseuse, si j'ai un véhicule, je vais arrêter de marcher. Et ça représente quand même une bonne trentaine de minutes par jour, juste pour me rendre au travail...
Histoire à suivre! Bonne journée à vous!