Vous auriez dû nous voir la « fraise », bien assis sur le bas côté de la route gravelée, à nager parmi les herbes, à la recherche de ces pépites précieuses…
Et nous en avons trouvé… car j’avais préalablement « spoté les talles »… ( pardonnez le laisser-aller de mon français écrit… mais ça dit ce que ça a à dire!...)
Quatre « anciens » récipients de yogourt, transformés pour l’occasion en plat de cueillette, avec entailles et lien de cuir afin de l’attacher à notre taille, ont été remplis « presque » à ras bord…
Deux heures que nous y avons consacré, sous un brûlant soleil d’après-midi… Ce sont les mains et les visages rougis, que nous avons regagné le Campement. Avoir réalisé ce défi nous a rempli d’une indescriptible fierté…
Belle preuve de « courage » et de vaillance!
Au retour, après la séance photographique, les fraises se sont retrouvées dans un immense bol en inox avec « plein-plein » de sucre (chuttt!... ne travaillons-nous pas dans un Camp pour enfants diabétiques?...), pour une période de macération, première étape pour la préparation de confitures froides…
Cet après-midi nous procéderons à l’empotage… et quelques uns de ces pots s’envoleront, miraculeusement vers le Nord, pour me rappeler, l’été, sa chaleur et ses senteurs…
Ça me fera tenir le coup une partie du prochain hiver!
Et nous en avons trouvé… car j’avais préalablement « spoté les talles »… ( pardonnez le laisser-aller de mon français écrit… mais ça dit ce que ça a à dire!...)
Quatre « anciens » récipients de yogourt, transformés pour l’occasion en plat de cueillette, avec entailles et lien de cuir afin de l’attacher à notre taille, ont été remplis « presque » à ras bord…
Deux heures que nous y avons consacré, sous un brûlant soleil d’après-midi… Ce sont les mains et les visages rougis, que nous avons regagné le Campement. Avoir réalisé ce défi nous a rempli d’une indescriptible fierté…
Belle preuve de « courage » et de vaillance!
Au retour, après la séance photographique, les fraises se sont retrouvées dans un immense bol en inox avec « plein-plein » de sucre (chuttt!... ne travaillons-nous pas dans un Camp pour enfants diabétiques?...), pour une période de macération, première étape pour la préparation de confitures froides…
Cet après-midi nous procéderons à l’empotage… et quelques uns de ces pots s’envoleront, miraculeusement vers le Nord, pour me rappeler, l’été, sa chaleur et ses senteurs…
Ça me fera tenir le coup une partie du prochain hiver!
Commentaires
Euh, dis, y a une de tes compagnes qui est un p'tit peu velue et pas pudique pour 5 cennes!
;O)
Hum... ça sent jusqu'ici (les fraises, pas la compagne velue...)
Que c'est beau à voir, tant d'abondance, ça sent bon jusqu'ici. T'avais « spoté » les talles all right, une vraie pro.
Les confitures froides, je connais, ça conserve l'été, la fraîcheur et la fierté bien légitime jusqu'à l'hiver. Ta vaillance sera récompensée, je t'imagine « la fraise » en décembre, à Kuujjuaak, en ouvrant un petit pot... ;o)
Zoreilles: J'aime ça les défis...Contente d'avoir relevé celui-ci, tout Abitibien!
C'est certain, qu'un de ces pots (un des trois) sera ouvert dans le temps des Fêtes à Kuujjuaq!...