Le café est imbuvable et parfaitement insipide. Aucun autre qualificatif ne pourrait mieux le décrire. Mais je le boirai, parce que je suis une caféinomane matinale. Voilà tout!
J’ai à vue, par l’étroite, la seule, fenêtre découpant le mur couleur sable du Tim Horton, aéroport Pierre-Elliott Trudeau, alias Dorval (curieux cette manie que nous avons, Québécois, de nommer, dénommer, renommer les endroits… comme si on remettait toujours en question notre premier choix… comme si on craignait d’avoir manqué d’imagination au premier tour… mais bon… je m’égare dans ma parenthèse maintenant… vous me suivez toujours?...)
… étroite fenêtre, donc, qui me permet d’observer les appareils colorés d’Air Jazz !... Assortis, comme le sont les maisons des Îles de la Madeleine, ils arborent fièrement cette feuille d’érable au bout de leur queue, dressée vers le ciel… (oups! un peu tôt pour avoir l’esprit mal tourné…)
Au terme de ces « presque » cinq semaines d’absence du Nord, je regagne aujourd’hui mes pénates, le cœur en liesse.
Étrange tournure que peut prendre notre vie, changer de direction, nous entraîner sur de nouveaux sentiers, qui de rêves, deviennent réalité…
Aucune désillusion ne m’habite. Je sais que je m’en vais au pays des moustiques (un Ami me l’a assuré…) qui sont, paraît-il, plus nombreux que la foule sur les Champs Élysés (!)…
Aucune idée de ce que ça peut être, mais… ça doit « être »!...
Je suis consciente également, que je retourne vers des températures moins clémentes… mais…
Malgré tout, je suis convaincue de retrouver ma quiétude, mon cocon, mes habitudes… et mes nouveaux Amis, tous aussi assortis que ne le sont finalement…
… ces appareils d’Air Jazz et les maisons des Îles!!...
J’ai à vue, par l’étroite, la seule, fenêtre découpant le mur couleur sable du Tim Horton, aéroport Pierre-Elliott Trudeau, alias Dorval (curieux cette manie que nous avons, Québécois, de nommer, dénommer, renommer les endroits… comme si on remettait toujours en question notre premier choix… comme si on craignait d’avoir manqué d’imagination au premier tour… mais bon… je m’égare dans ma parenthèse maintenant… vous me suivez toujours?...)
… étroite fenêtre, donc, qui me permet d’observer les appareils colorés d’Air Jazz !... Assortis, comme le sont les maisons des Îles de la Madeleine, ils arborent fièrement cette feuille d’érable au bout de leur queue, dressée vers le ciel… (oups! un peu tôt pour avoir l’esprit mal tourné…)
Au terme de ces « presque » cinq semaines d’absence du Nord, je regagne aujourd’hui mes pénates, le cœur en liesse.
Étrange tournure que peut prendre notre vie, changer de direction, nous entraîner sur de nouveaux sentiers, qui de rêves, deviennent réalité…
Aucune désillusion ne m’habite. Je sais que je m’en vais au pays des moustiques (un Ami me l’a assuré…) qui sont, paraît-il, plus nombreux que la foule sur les Champs Élysés (!)…
Aucune idée de ce que ça peut être, mais… ça doit « être »!...
Je suis consciente également, que je retourne vers des températures moins clémentes… mais…
Malgré tout, je suis convaincue de retrouver ma quiétude, mon cocon, mes habitudes… et mes nouveaux Amis, tous aussi assortis que ne le sont finalement…
… ces appareils d’Air Jazz et les maisons des Îles!!...
Commentaires
Bonne fin de semaine de décompression!
xxx
Bonne fin de semaine à toi aussi! xoxo
J'ai remarqué une recette madelinote de moules au Pied-de-vent. Quel est ce fromage inconnu ici ?
http://fromagesdici.com/repertoire/pied-de-vent
Ça semble être typique des Îles... Il est question d'un fromage au lait cru, à pâte molle affinée en surface et à croûte lavée à la saveur de noisette et champignon... Je n'en ai jamais mangé, mais il doit être délicieux...
À l'été 2008, sur un avion d'Air Jazz justement, je suis retournée séjourner au pays de mes parents, grands-parents, arrière...
Le fromage Pied-de-vent, c'est l'une des fiertés madeliniennes, comme le homard, la chaleur de l'accueil et l'hospitalité des gens des Îles. (On dit Madelinot au masculin mais Madelinienne au féminin).