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"Ma vie...


n’est qu’un vaste mystère noyé dans un brouillard d’incertitude… »

… un peu trop pathétique peut-être, comme entrée en matière?...

… mais la photo se prête tellement à ce genre de réflexion…

… et comme il n’y a qu’une toute petite ouverture… Peut-être devrais-je essayer de m’y faufiler… comme seul un ange pourrait le faire sans abîmer ses plumes

Serait-ce la porte qui laisse toute la place à l’intuition?... Ouverture magique sur une nouvelle vie, de nouveaux horizons?...

Ça me donne l’irrésistible envie de me lancer dans le vide, de déployer enfin mes ailes, de me laisser planer dans cette existence en faisant fi de tout rationnel…

Ce matin, dans la chronique de Matin Magique je lisais :

« La raison peut nous avertir de ce qu’il faut éviter, le cœur seul nous dit ce qu’il faut faire. »
Joseph Joubert

J’ai bien envi d’écouter mon cœur…

Commentaires

Zoreilles a dit…
Bien sûr, écoute ton coeur, voyons, il sait mieux que toi, il ne se trompe jamais...
J'en doute parfois... c'est pourquoi je dois l'écrire pour m'en convaincre...

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier