« Action de partir » m’a livré Petit Robert sous le couvert de sa page 690. Et je l’ai cru…
N’ayez crainte, je ne m’envole pas… du moins pas encore! Mais nous ne sommes jamais très loin de prendre un autre tournant, de quitter quelqu’un, quelque chose, quelque part…
Fixer l’heure, le jour… S’y préparer et s’en réjouir…
Le laisser nous surprendre et rendre les armes, parce que départ implique une fin…
Ou être carrément pris d’assaut par lui, sans l’avoir vraiment ni souhaité, ni planifié…
Se laisser emporter par la peine des uns, les sourires des autres… Penser partir pour ne jamais revenir…
Retour à la définition du sens figuré (j’en connais un qui va être drôlement content que cette fois, ce soit si clairement énoncé):
« Commencement(…) au départ, au début. »
Tiens je trouve plus joli qu’on lui donne cette notion… Rassurance devant l’éternel recommencement…
En fait du moment que l’on part de quelque part, on commence quelque chose d’autre… Immédiatement, instantanément…
Ce n’est alors plus un départ, mais un début… Finalement, nous sommes toujours à recommencer…
… Bien dites-moi donc! Mais qu’y avait-il dans ce « Virgin Cesar » pour qu’arrivent ainsi, pareilles divagations?…
À moins qu’elles ne soient que pâles reflets d’une triste réalité?
Et si tout cela n’était rien d’autre que le départ d’un début…
... le début de départs?...
N’ayez crainte, je ne m’envole pas… du moins pas encore! Mais nous ne sommes jamais très loin de prendre un autre tournant, de quitter quelqu’un, quelque chose, quelque part…
Fixer l’heure, le jour… S’y préparer et s’en réjouir…
Le laisser nous surprendre et rendre les armes, parce que départ implique une fin…
Ou être carrément pris d’assaut par lui, sans l’avoir vraiment ni souhaité, ni planifié…
Se laisser emporter par la peine des uns, les sourires des autres… Penser partir pour ne jamais revenir…
Retour à la définition du sens figuré (j’en connais un qui va être drôlement content que cette fois, ce soit si clairement énoncé):
« Commencement(…) au départ, au début. »
En fait du moment que l’on part de quelque part, on commence quelque chose d’autre… Immédiatement, instantanément…
Ce n’est alors plus un départ, mais un début… Finalement, nous sommes toujours à recommencer…
… Bien dites-moi donc! Mais qu’y avait-il dans ce « Virgin Cesar » pour qu’arrivent ainsi, pareilles divagations?…
À moins qu’elles ne soient que pâles reflets d’une triste réalité?
Et si tout cela n’était rien d’autre que le départ d’un début…
... le début de départs?...
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