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Kuujjuuaraapik...

... je suis partie depuis lundi... J'anticipais le fait de ne pas pouvoir me brancher, une fois de plus...

Dimanche soir, alors que j'écoutais "Tout le monde en parle", je profitais des annonces publicitaires pour rédiger quelques mots d'avance...

Si vous suivez bien, "je" suis dimanche et "vous" êtes jeudi!... Que dire sinon rapporter la pensée de mon agenda Zen:

" Dans le tumulte de la vie, réservez-vous des îlots de calme."
Hervé Desbois

C'est ce que je compte faire, ici à Puvirnituq ce soir... car je serais supposée m'être déménagée ce midi vers ce village, pour un vingt-quatre heures...

Pourvu que demain, je vous écrive de chez-moi... de mon Kuujjuaq!



Commentaires

Sally Fée a dit…
Alors vivement demain!


Ta Fée abstinente (de vin et, par la force des choses, de "ça" aussi...).

xxx
... tu sais, j'ai jamais fait le "carême" de "ça" aussi... ;-)

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

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