… aussi légère qu’une tonne de plumes!
Pas évident de voler dans ce temps-là…
Triste constat, encore une fois : votre ange est fatigué… beaucoup fatigué! Sans que je sache trop pourquoi. Pourtant, je n’exagère pas sur les heures de veille, je m’alimente assez bien, je bouge régulièrement…
Peut-être que les voyages ne forment pas tant que ça la jeunesse finalement!
Ou que trop c’est comme pas assez…
Je tente une explication… Hier, un Ami m’a parlé des effets de la pressurisation pendant les vols… J’ai bien tenté une recherche sur Internet, sans pour autant saisir clairement le processus… Je devrai lancer mes frérots là-dessus! De toute façon, comprendre ne me reposera pas! Je vais plutôt miser, une fois de plus, sur un coucher tôt (avec espérance d’une nuit sans coupure!).
J’ai allongé mon temps de marche exprès aujourd’hui afin de m’oxygéner au maximum. Si vous aviez vu le temps qu’il a fait ici : très doux, avec un brin de fondant. Même la rivière sous le pont avait envi de piquer une course dans la ravine! On aurait cru le printemps qui tentait une échappée au-travers du long hiver…
Bizarrement, personne n’a tenté de l’arrêter…
Peu après le souper, je me suis retrouvée quelques instants, appuyée contre le mur, une jambe repliée, la tête rejetée vers l’arrière, attendant que la laveuse termine son cycle… J’ai fermé les yeux sur cette journée qui me laisse un peu chancelante…
Je sais bien que demain, tout ira bien… bien mieux!...
Ces moments présents sont juste un peu longs à devenir passé…
Pas évident de voler dans ce temps-là…
Triste constat, encore une fois : votre ange est fatigué… beaucoup fatigué! Sans que je sache trop pourquoi. Pourtant, je n’exagère pas sur les heures de veille, je m’alimente assez bien, je bouge régulièrement…
Peut-être que les voyages ne forment pas tant que ça la jeunesse finalement!
Ou que trop c’est comme pas assez…
Je tente une explication… Hier, un Ami m’a parlé des effets de la pressurisation pendant les vols… J’ai bien tenté une recherche sur Internet, sans pour autant saisir clairement le processus… Je devrai lancer mes frérots là-dessus! De toute façon, comprendre ne me reposera pas! Je vais plutôt miser, une fois de plus, sur un coucher tôt (avec espérance d’une nuit sans coupure!).
J’ai allongé mon temps de marche exprès aujourd’hui afin de m’oxygéner au maximum. Si vous aviez vu le temps qu’il a fait ici : très doux, avec un brin de fondant. Même la rivière sous le pont avait envi de piquer une course dans la ravine! On aurait cru le printemps qui tentait une échappée au-travers du long hiver…
Bizarrement, personne n’a tenté de l’arrêter…
Peu après le souper, je me suis retrouvée quelques instants, appuyée contre le mur, une jambe repliée, la tête rejetée vers l’arrière, attendant que la laveuse termine son cycle… J’ai fermé les yeux sur cette journée qui me laisse un peu chancelante…
Je sais bien que demain, tout ira bien… bien mieux!...
Ces moments présents sont juste un peu longs à devenir passé…
Commentaires
Et ce n'est sûrement pas à cause de la pressurisation. Hum, je devrais peut-être consulter mon calendrier?
Ça ira mieux demain; pour toi et, je l'espère, pour moi zitou.
Bon repos, j'y vais de ce pas...
:O)