Hier matin, à mon réveil, je me suis dit que j’essaierais... une fois de plus...
... sans trop me questionner sur le pourquoi du « il faudrait ben que... », ni du pourquoi ça arrivait comme ça, en ce beau lundi matin de congé, je sentais simplement qu’il fallait que je le fasse...
... là, là!...
... j’ai sauté de mon lit d’un seul bond et j’ai enfilé ma robe de chambre, blanche (!). J’étais remplie de cette bonne volonté qui m’envahit si soudainement... si frénétiquement... si fréquemment...
... j’étais certaine que cette fois-ci, je tiendrais le coup, que ce n’était qu’une question de temps... Après tout, il n’était que...
... puis je me suis dit que ce n’était pas parce qu’il m’avait attiré tout ce temps, aussi voluptueusement qu’un épicurien l’aurait fait, que je ne saurais trouvé le courage d’y mettre fin, une bonne fois pour toutes...
... pas non plus à cause de sa chaleur qui savait tellement me réconforter, ni de son parfum un peu suave... hum!... son odeur...
... et surtout pas question de remettre en vol, l’idée de sa force, de son côté parfois léger, parfois serré...
... quand je pense que je pouvais même me le permettre ainsi... allongé...
... Oh! Quel supplice!...
Mais je lui ai tenu tête, je ne lui ai pas cédé... Enfin, pas lundi...
... Ce matin, j’avoue: il a été le plus fort, plus fort que tout, plus fort que ma volonté... J'ai baissé mes ailes, j’ai abdiqué sans regimber...
J’ai levé l’embargo sur le « il faudrait ben que... »...
... et je me suis versé un « vrai » café... pas un décaféiné!...
... sans trop me questionner sur le pourquoi du « il faudrait ben que... », ni du pourquoi ça arrivait comme ça, en ce beau lundi matin de congé, je sentais simplement qu’il fallait que je le fasse...
... là, là!...
... j’ai sauté de mon lit d’un seul bond et j’ai enfilé ma robe de chambre, blanche (!). J’étais remplie de cette bonne volonté qui m’envahit si soudainement... si frénétiquement... si fréquemment...
... j’étais certaine que cette fois-ci, je tiendrais le coup, que ce n’était qu’une question de temps... Après tout, il n’était que...
... puis je me suis dit que ce n’était pas parce qu’il m’avait attiré tout ce temps, aussi voluptueusement qu’un épicurien l’aurait fait, que je ne saurais trouvé le courage d’y mettre fin, une bonne fois pour toutes...
... pas non plus à cause de sa chaleur qui savait tellement me réconforter, ni de son parfum un peu suave... hum!... son odeur...
... et surtout pas question de remettre en vol, l’idée de sa force, de son côté parfois léger, parfois serré...
... quand je pense que je pouvais même me le permettre ainsi... allongé...
... Oh! Quel supplice!...
Mais je lui ai tenu tête, je ne lui ai pas cédé... Enfin, pas lundi...
... Ce matin, j’avoue: il a été le plus fort, plus fort que tout, plus fort que ma volonté... J'ai baissé mes ailes, j’ai abdiqué sans regimber...
J’ai levé l’embargo sur le « il faudrait ben que... »...
... et je me suis versé un « vrai » café... pas un décaféiné!...
Commentaires
Tant qu'à boire du café, il doit être entier et pas juste une pâle imitation.
Je vote pour la levée complète de l'embargo! Mais bon, faudrait quand même pas dépasser 3-4 tasses par jour. N'est-ce pas mon Ange?
xoxo
;O)
Car pour les autres genres de consommations, il me fait toujours plaisir de t'accompagner, à l'occasion!!! Vivement vendredi pour mon petit rituel d'une bonne bière à la fin de la journée. De mon côté aussi, j'essaie d'être raisonnable, car avec la chaleur des derniers jours, j'en aurais bien pris une à chaque soir, tourlou, ou plutôt, à tantôt. De ta Bonne Amie G. xoxo