... lorsque la porte s’ouvrit, son visage se ferma... Signe de légitime défense...
... son regard, jadis si vif, fut envahi par le vide de l’incertitude...
L’hésitation chevrotante d’une incompréhensible question sans réponse, tanguait en lui... je la vis passer et repasser derrière le voile de ses yeux...
... son timide sourire, celui des jours où l’on ose penser que quelque part, notre cerveau nous joue un tour (un bien mauvais tour... ), tardait à s’affranchir...
... le doute l’habitait, je le sentais bien...
Je l’ai serré dans mes bras, tendrement, fortement, comme si je pouvais, à travers ce puéril geste, lui transmettre un peu de ma vigueur... Comme si je ne voulais pas voir...
... sa solitude...
Nous sommes sortis marcher ses rues, bras dessus, bras dessous... Celles qu’ils connaient et reconnaient... Encore...
... Et nous avons laissé couler nos larmes de désarroi, tous les deux, tendres coeurs égarés dans cette jungle mystérieuse et secrète, de cette espace de vie, entre ciel et terre...
Dans la ruelle derrière chez-lui, il s’est alors tourné vers moi et m’a demandé des nouvelles... de moi...
« Comment va S...? La dernière fois qu’elle est venue, nous avons marché comme ça... »
... « Papa! C’est moi!... », lui répondis-je.
Ses yeux se sont emplis de larmes, les miens aussi... et il m’a avoué qu’il croyait que j’étais « ma Meilleure Amie... »
C'est alors que j’ai réalisé, que le feu qui brûlait en lui, tranquillement, était en train de s’éteindre...
... son regard, jadis si vif, fut envahi par le vide de l’incertitude...
L’hésitation chevrotante d’une incompréhensible question sans réponse, tanguait en lui... je la vis passer et repasser derrière le voile de ses yeux...
... son timide sourire, celui des jours où l’on ose penser que quelque part, notre cerveau nous joue un tour (un bien mauvais tour... ), tardait à s’affranchir...
... le doute l’habitait, je le sentais bien...
Je l’ai serré dans mes bras, tendrement, fortement, comme si je pouvais, à travers ce puéril geste, lui transmettre un peu de ma vigueur... Comme si je ne voulais pas voir...
... sa solitude...
Nous sommes sortis marcher ses rues, bras dessus, bras dessous... Celles qu’ils connaient et reconnaient... Encore...
... Et nous avons laissé couler nos larmes de désarroi, tous les deux, tendres coeurs égarés dans cette jungle mystérieuse et secrète, de cette espace de vie, entre ciel et terre...
Dans la ruelle derrière chez-lui, il s’est alors tourné vers moi et m’a demandé des nouvelles... de moi...
« Comment va S...? La dernière fois qu’elle est venue, nous avons marché comme ça... »
... « Papa! C’est moi!... », lui répondis-je.
Ses yeux se sont emplis de larmes, les miens aussi... et il m’a avoué qu’il croyait que j’étais « ma Meilleure Amie... »
C'est alors que j’ai réalisé, que le feu qui brûlait en lui, tranquillement, était en train de s’éteindre...
Commentaires
Comme il doit être difficile de voir quelqu'un qu'on aime s'éteindre peu à peu. De sentir la peur qui l'habite et l'incompréhension qui le gagne un peu plus chaque fois.
Je partage ton chagrin.