Il pleut ce matin... Du salon, où je me suis installée pour écrire, j’ai une vue de grisaille sur le lac Trois-Saumons... La place, entourée d’érables, me procure un doux et inspirant refuge... À l’extérieur , les feuilles caressent la surface vitrifiée... Sombre invite à la réflexion...
« Le grand salon »: c’est comme ça qu’on l’appelle... Grande pièce au plafond cathédrale, richement éclairé par la lumière naturelle provenant des immenses et nombreuses fenêtres qui en constituent trois des quatre murs...
L’intérieur se compose de meubles anciens... Un peu amochés par le temps... Une odeur de vieux souvenirs plane dans l’air... Comme une âme trop longtemps refermée sur elle-même... Un immense foyer en pierres des champs, trônent fièrement, patriarche de temps anciens...
Les minutes que je me suis permise pour écrire ces lignes, s’écoulent rapidement... Je sens le temps qui me presse de trouver mots et palabres pour vous exprimer un peu de ce quotidien qui sera le mien pour les deux prochaines semaines...
Et en bonne « toquée » que je suis, j’ai glissé à mon poignet, 15 petits bracelets de perle, que je retirerai un à un, au fil des jours... Comme un signe du temps qui naît, qui vit et qui disparaît pour devenir passé...
Non pas que j’ai déjà hâte au 11 juillet, mais il me semble toujours à mon arrivée au camp, que ce sera long, tout en sachant pertinemment bien qu’en un coup d’ailes, les journées s’envoleront...
En terminant, je peux vous dire qu’hier, le voyage de Mont-Laurier à St-Aubert de l’Islet, s’est bien déroulé. Nous avons dû « affronter » des pluies diluviennes et des cieux zébrés d’éclairs, dans les Laurentides et dans la région de Québec. Mais je crois que ce fut comme ça un peu partout dans la province...
À notre arrivée, nous sommes allées, Jass et moi, souper dans un petit resto de la marina de St-Jean-Port-Joli, face au Fleuve... Je suis déjà sous l’emprise de cette charmante vue fluviale...
Mes racines maternelles sont ici, je le sais, je le sens...
« Le grand salon »: c’est comme ça qu’on l’appelle... Grande pièce au plafond cathédrale, richement éclairé par la lumière naturelle provenant des immenses et nombreuses fenêtres qui en constituent trois des quatre murs...
L’intérieur se compose de meubles anciens... Un peu amochés par le temps... Une odeur de vieux souvenirs plane dans l’air... Comme une âme trop longtemps refermée sur elle-même... Un immense foyer en pierres des champs, trônent fièrement, patriarche de temps anciens...
Les minutes que je me suis permise pour écrire ces lignes, s’écoulent rapidement... Je sens le temps qui me presse de trouver mots et palabres pour vous exprimer un peu de ce quotidien qui sera le mien pour les deux prochaines semaines...
Et en bonne « toquée » que je suis, j’ai glissé à mon poignet, 15 petits bracelets de perle, que je retirerai un à un, au fil des jours... Comme un signe du temps qui naît, qui vit et qui disparaît pour devenir passé...
Non pas que j’ai déjà hâte au 11 juillet, mais il me semble toujours à mon arrivée au camp, que ce sera long, tout en sachant pertinemment bien qu’en un coup d’ailes, les journées s’envoleront...
En terminant, je peux vous dire qu’hier, le voyage de Mont-Laurier à St-Aubert de l’Islet, s’est bien déroulé. Nous avons dû « affronter » des pluies diluviennes et des cieux zébrés d’éclairs, dans les Laurentides et dans la région de Québec. Mais je crois que ce fut comme ça un peu partout dans la province...
À notre arrivée, nous sommes allées, Jass et moi, souper dans un petit resto de la marina de St-Jean-Port-Joli, face au Fleuve... Je suis déjà sous l’emprise de cette charmante vue fluviale...
Mes racines maternelles sont ici, je le sais, je le sens...
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