C’est la même fois, le même
voyage en autobus, celui du week-end Montréal-Saint-Sauveur. J’avais pris place dans le
premier banc libre à l’avant. Malheureusement, le dossier était penché vers
l’arrière, me forçant à tenir le cou sans appui.
Je cherchais, mine de rien,
le levier pour le redresser. Je passais la main le long du siège, du devant
vers l’arrière. Sur les côtés. Allers-retours… Je me disais…
Non… Je cherchais. Mais…
… en même Temps… Je me
disais… qu’il devait bien y avoir un « quelque-chose-quelque-part » puisque
le siège n’était pas dans la position redressée…
À quelques reprises, j’ai
refait le « trajet », toujours glissant les doigts, au pourtour du
siège…
Rien, niet… Après plusieurs
kilomètres, je lâchai prise… Jusqu'en arrivant…
… Dans le petit village de
Val Senneville, j'ai "re-glissé" mes doigts là où j’avais d’affaire (!) et je
trouvai enfin, le fameux levier. En tirant dessus, le dossier s'est redressé
illico, comme par enchantement.
Moment d’extase… Il était
Temps car, je commençais à me poser de sérieuses questions sur mes habiletés à
utiliser, un simple siège d’autobus!!!!
« Idée de génie », Amos, février 2015 |
Commentaires
Il m'est venu un fantasme de collégien.
Rigolo!!!!!!!!
(mais M. Le Factotum est plus drôle que moi... moi, je suis bien sérieuse...)
;-0