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Billet pré-enregistré



Bien chanceux(es), vous qui lirez ces lignes, signe que vous ne vous fiez pas aux liens partagés sur FB pour venir sur ce blogue y faire votre lecture quotidienne. Car, quand je ne suis pas à portée de portable (!), non seulement il y a risque que les souris dansent mais en plus, je ne peux pas toujours aller copier-coller le lien du billet à saveur du jour sur mon mur.
 
Tant pis pour les initiés dépendants de l’informatisation poussée!

Hier, jeudi, mis à part les deux « passés-proches » de me faire écrabouiller comme une galette et de me ramasser nappée d’un semblant de chocolat noir et blanc (Méo), je suis passée à la bibliothèque municipale, y quérir le livre que j’avais fait réserver pendant les Fêtes.

Devinez quoi?

Eh oui! J’ai enfin entre les mains mon « Chick lit 2 » d’Amélie Dubois. 

Devinez encore ce que je ferai dans l’autobus qui me mènera ce jour vers Montréal?

Hum, hum… J’aurai la tête plongée jusqu’aux oreilles dans mon Marc Levy pour le finir au plus vite!!!


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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Paul Piché - L'escalier

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...