... p’tites douceurs, p’tits bonheurs!... Pleins la journée et la soirée!
Tout d’abord, lorsque mes yeux se sont ouverts sur ce mercredi ensoleillé, une idée brillante prit naissance dans mon cerveau: je me suis facilement convaincue que mon plafond méritait la main habile d’un homme de métier! Aussitôt huit heures sonnées, j’appelai celui qui deviendra dans les prochaines semaines, mon ange menuisier...
Ça coûtera ce que ça coûtera!
Deuxièmement ce soir, après avoir partagé un délicieux plat aux oeufs avec mon Grand, plat qu’il avait habilement concocté d'ailleurs, j’allai marcher sur la piste d’atterrissage jouxtant le terrain de la Base. Je me rendis jusqu’à son extrémité ouest, me fondis dans la masse feuillue des merisiers quelques instants avant de rebrousser chemin. J’en profitai pour jeter quelques regards par terre au cas où j’y apercevrais des « pierres à voeu »...
Tout d’un coup!
Comme cette randonnée d’à peine 15 minutes ne m’avait pas vraiment « rassasié », je poursuivis vers mon bon vieux « champ à Jolin ». Je n’y avais pas mis les pieds depuis mon retour du lac Trois-Saumons.
Quel ne fut pas ma surprise de découvrir que les boeufs n’y pacageaient point! Les hautes herbes frôlaient mes jambes dénudées et s’entremêlaient pour ralentir mes pas... Je me rendis jusqu’à la grange désaffectée, sous le pâle reflet d’une lune timide.
Au retour, comme j’atteignais le sommet de la colline, je m’arrêtai quelques instants. Le lac s’étendait tel un miroir sans fin. C’est là que me vint l’idée la plus saugrenue et spontanée de mes 51 ans: je m’étendis parmi les graminées et dans cette position, je laissai les odeurs de la terre humide et les cris nasillards d’oiseaux invisibles me griser. L’astre se dessinait en arrière plan des longs épis de mil se balançant sous la brise.
Seuls, pralines, rosé et solide épaule d’un amoureux, auraient pu venir parachever cet idyllique moment...
Une autre fois peut-être...
Tout d’abord, lorsque mes yeux se sont ouverts sur ce mercredi ensoleillé, une idée brillante prit naissance dans mon cerveau: je me suis facilement convaincue que mon plafond méritait la main habile d’un homme de métier! Aussitôt huit heures sonnées, j’appelai celui qui deviendra dans les prochaines semaines, mon ange menuisier...
Ça coûtera ce que ça coûtera!
Deuxièmement ce soir, après avoir partagé un délicieux plat aux oeufs avec mon Grand, plat qu’il avait habilement concocté d'ailleurs, j’allai marcher sur la piste d’atterrissage jouxtant le terrain de la Base. Je me rendis jusqu’à son extrémité ouest, me fondis dans la masse feuillue des merisiers quelques instants avant de rebrousser chemin. J’en profitai pour jeter quelques regards par terre au cas où j’y apercevrais des « pierres à voeu »...
Tout d’un coup!
Comme cette randonnée d’à peine 15 minutes ne m’avait pas vraiment « rassasié », je poursuivis vers mon bon vieux « champ à Jolin ». Je n’y avais pas mis les pieds depuis mon retour du lac Trois-Saumons.
Quel ne fut pas ma surprise de découvrir que les boeufs n’y pacageaient point! Les hautes herbes frôlaient mes jambes dénudées et s’entremêlaient pour ralentir mes pas... Je me rendis jusqu’à la grange désaffectée, sous le pâle reflet d’une lune timide.
Au retour, comme j’atteignais le sommet de la colline, je m’arrêtai quelques instants. Le lac s’étendait tel un miroir sans fin. C’est là que me vint l’idée la plus saugrenue et spontanée de mes 51 ans: je m’étendis parmi les graminées et dans cette position, je laissai les odeurs de la terre humide et les cris nasillards d’oiseaux invisibles me griser. L’astre se dessinait en arrière plan des longs épis de mil se balançant sous la brise.
Seuls, pralines, rosé et solide épaule d’un amoureux, auraient pu venir parachever cet idyllique moment...
Une autre fois peut-être...
Commentaires
Bizarre, non? xo