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J'ai bien essayé...

... J’ai sorti mon ruban à mesurer, pas celui pour faire de la couture, l’autre, celui en métal, qui s’enroule seul dans une minuscule boîtier orangé...

... J’ai placé mes planches, par ordre de grandeur, comme on place du tissu, avant de le tailler...

... J’ai pris mes mesures, tenté un estimé du « comment je fais ça »...

... Puis j’ai secoué énergiquement mes cheveux pour en déloger les particules d’uréthane s’y étant déposées, pour finalement...

... SACRÉ MON CAMP DEHORS, TORNORS!

... Parce que je n'ai absolument aucune idée du comment m’y prendre pour « foreighncer » ce plafond!

... Tout bonnement!...

Je crois qu’il me manque des matériaux, du savoir faire et de l’expérience... En plus d’un bon coup de pied au derrière pour me mettre en branle... Pis un peu d’énergie après une nuit d’insomnie...

Tiens, tiens! Serait-ce là, la clé de tous mes problèmes? La damné fatigue?

Hum!... J‘crois bien que oui!...

... Alors je ne connais qu’un remède à ce mal insidieux: le repos! Total, global, génial, horizontal...

Allez hop! Un bain puis au lit! Demain je tenterai un autre coup d’aile sur cette machiavélique réfection...

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Paul Piché - L'escalier

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...