... gronde encore...
Je sursaute à chaque coup de tonnerre. Le ciel n’est plus qu’une large zébrure. Les éclairs l’illuminent, gigantesques feux d’artifice célestes...
... et au bout de mon quai, un petit hydravion rouge et blanc se repose, après avoir affronté, de peur et de misère, la colérique tempête. Il s’est posé, entre deux ondées...
Lorsque je l’ai entendu survoler la maison, j’ai cru un instant être victime d’hallucination auditive... Comment peut-on voler par ce temps exécrable, de grands vents et de fortes pluies?
J’ai offert qu’on lui laisse passer la nuit ici, en sécurité. Les pilotes, eux, semblaient vouloir repartir... À cette heure, c’est certain, ils ne bougeront plus... Cloués au sol... Euh... au lac!
Décollage impossible... De toute façon, la noirceur s’est installée...
... Et je demeure là, un peu en « stand by », à attendre qu’ils viennent peut-être se réfugier dans la maison... Ils ne peuvent toujours pas passer la nuit dans ce petit Cessna 172!... C’est que j’ai autre chose à faire moi!
... comme continuer à sortir les meubles de la chambre de mon Grand et de l’entrée afin de pouvoir débuter les travaux de réfection du plafond « qui coule »...
Au fait, vous ai-je dit que ça avait recommencé à couler entre la cuisine et le boudoir?
Non?
J’aurais omis ça, moi, de vous partager mes déluges existentiels?...
Bon, et bien là c’est fait...
Je sursaute à chaque coup de tonnerre. Le ciel n’est plus qu’une large zébrure. Les éclairs l’illuminent, gigantesques feux d’artifice célestes...
... et au bout de mon quai, un petit hydravion rouge et blanc se repose, après avoir affronté, de peur et de misère, la colérique tempête. Il s’est posé, entre deux ondées...
Lorsque je l’ai entendu survoler la maison, j’ai cru un instant être victime d’hallucination auditive... Comment peut-on voler par ce temps exécrable, de grands vents et de fortes pluies?
J’ai offert qu’on lui laisse passer la nuit ici, en sécurité. Les pilotes, eux, semblaient vouloir repartir... À cette heure, c’est certain, ils ne bougeront plus... Cloués au sol... Euh... au lac!
Décollage impossible... De toute façon, la noirceur s’est installée...
... Et je demeure là, un peu en « stand by », à attendre qu’ils viennent peut-être se réfugier dans la maison... Ils ne peuvent toujours pas passer la nuit dans ce petit Cessna 172!... C’est que j’ai autre chose à faire moi!
... comme continuer à sortir les meubles de la chambre de mon Grand et de l’entrée afin de pouvoir débuter les travaux de réfection du plafond « qui coule »...
Au fait, vous ai-je dit que ça avait recommencé à couler entre la cuisine et le boudoir?
Non?
J’aurais omis ça, moi, de vous partager mes déluges existentiels?...
Bon, et bien là c’est fait...
Commentaires