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"Colère...


... d’une montagne, d’un fleuve...

... un fleuve coincé dans la grisaille... comme un morceau qui nous obstruerait la gorge, empêchant l’air d’oxygéner notre cerveau...

... un cerveau incapable de « réfléchir », au propre comme au figuré, ni lumière ni pensée, qui pourtant subsiste, malgré tout...

Je le sais... enfin, j’ose y croire...

... croire que le temps saura dissiper les embruns, ceux me laissant roide et transie...

Colère d’un ange...

... cet ange enveloppé d’une brume opaque, incapable de saisir l’essentiel...

... l’essentiel qui repose, derrière cette omniprésente concupiscence ... »

Commentaires

Anonyme a dit…
Salut Angé Aérien, le mot de ce blogue résume bien le courriel que j'ai reçu de toi. J'y donne suite prochainement... De notre parenté est en visite ce fds en Abitibi, je reçois à souper ce soir, t'en fais pas, je sais aussi penser à moi dans tout ça. Bonne dernière semaine de camp, j'ai hâte de te revoir. De ta Bonne Amie G. xoxo P.S. : température assez maussade aussi en Abitibi!
... nous aurons au moins la même coloration de peau... xoxo

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Paul Piché - L'escalier

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« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...