... j’ai croisé sur mon chemin « d’être » , une sage Dame aux blancs cheveux bouclés et aux yeux d’un bleu aussi intense qu’un ciel estival (d’antan!...) en Abitibi...
Sur la peau amincie de son beau visage, chaque ride racontait un moment de sa vie...
De son charmant accent légèrement chanté, elle m’en a offert quelques parcelles, que j’ai cueilli avec respect. Je l’ai écouté parce qu’elle avait un trop plein à partager...
J’ai partagé...
Lorsque ses beaux yeux ont été inondées d’une eau de tristesse, souvenance lointaine et amère des duretés parfois intransigeantes de son existence, j’ai laissé voleter ma main sur son bras, comme papillon hésitant à se poser de peur d’embarrasser...
Mon geste a fait se plisser les commissures de ses lèvres, en un timide sourire, en un muet « merci »...
Le ton se fit plus léger, un ange passa...
Comme j’aime mon travail! Être là, au bon endroit, au bon moment, heureuse de servir un court instant, de p’tit bonheur à tous ces gens...
Ce soir, le présent billet est né, alors que j’étais attablée à une terrasse, faisant face à la Principale Rue... J’ai assiégé l’espace, pendant quelques heures, en compagnie de ma Bonne Amie G.. Nous y avons refait une partie du monde, nous y avons remis nos vies à jour...
... et cela devint mon P’tit Bonheur à moi, rien qu’à moi!...
Passage provenant de l’Alchimiste que je désire partager...
Sur la peau amincie de son beau visage, chaque ride racontait un moment de sa vie...
De son charmant accent légèrement chanté, elle m’en a offert quelques parcelles, que j’ai cueilli avec respect. Je l’ai écouté parce qu’elle avait un trop plein à partager...
J’ai partagé...
Lorsque ses beaux yeux ont été inondées d’une eau de tristesse, souvenance lointaine et amère des duretés parfois intransigeantes de son existence, j’ai laissé voleter ma main sur son bras, comme papillon hésitant à se poser de peur d’embarrasser...
Mon geste a fait se plisser les commissures de ses lèvres, en un timide sourire, en un muet « merci »...
Le ton se fit plus léger, un ange passa...
Comme j’aime mon travail! Être là, au bon endroit, au bon moment, heureuse de servir un court instant, de p’tit bonheur à tous ces gens...
Ce soir, le présent billet est né, alors que j’étais attablée à une terrasse, faisant face à la Principale Rue... J’ai assiégé l’espace, pendant quelques heures, en compagnie de ma Bonne Amie G.. Nous y avons refait une partie du monde, nous y avons remis nos vies à jour...
... et cela devint mon P’tit Bonheur à moi, rien qu’à moi!...
Passage provenant de l’Alchimiste que je désire partager...
« ... une loi du monde, toute simple: quand nous avons de grands trésors sous les yeux, nous ne nous en apercevons jamais. Et sais-tu pourquoi? Parce que les hommes ne croient pas aux trésors... »
Paulo Coehlo
Paulo Coehlo
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xoxo