À Amos l’autre jour, en traversant
une cour d’école désertée, les vibrantes couleurs des jeux m’ont rappelé un
certain « Viens, on va jouer à vivre… »,
slogan appartenant à mon passé professionnel nordique.
Drôle d’entrée en matière en
ce vendredi 2 février, pour vous confier que j’hésite sur le contenu de ce
billet. Dois-je porter à votre attention, deux pubs mettant en vedette des
enfants, et devant lesquelles je m’éclate à chaque fois? Ou dois-je une fois de
plus, vous raconter un peu de moi?
Hummm… Peut-être un mixte des
deux vu l’heure tardive?... Si vous le
permettez, moi d’abord.
La nuit dernière, quelque
chose d’inexplicablement-inexpliquée me
ramena brutalement du pays des rêves. J’étais en terrain connu pour avoir déjà
fait le même voyage, il y avait
plusieurs années de cela. Je savais ce que j’avais à faire. Stoïque, je restai donc
étendue dans mon lit, jusqu’à ce que la tempête intérieure
appartienne au passé.
Incapable de retrouver le
sommeil, je passai quelques heures à me bercer dans le noir, à ressasser une
vieille peur : celle de souffrir.
5h
sonnait quand je retournai me coucher. Heureusement, la journée se montra
bienveillante, et une bonne marche sous la froidure hivernale avec mon Amie Lil
remit les idées à la bonne place.
Changement de sujet…
Sur une note beaucoup plus
joyeuse, je vous invite à visionner les dernières pubs de Centris (si ce n’est déjà fait). Quand
Mini-infirmière se pointe… je craque. Quant à Mini-Commandant qui se demande si
Tahiti est à côté de Chicoutimi…
Je les trouve très drôles ces pubs!
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