Parle
parle, jase jase, toujours en présence de Papa Fitzsou, toujours en ce beau
dimanche…
Parce
que… Ce matin-là, j’avais entendu l’histoire surprenante mais combien inspirante, du
jeune Maxence
Parrot, qui à 9 ans,
voulant avoir une planche à neige pour faire comme son ami, avait tondu des
pelouses tout l’été (ça sonne comme l’histoire de la cigale et la
fourmi…),
ce qui lui avait permis d’amasser suffisamment d’argent pour l’acheter
l’automne venu, au lieu de continuer à skier en famille.
Se remémorer ce simple fait, fut source de
motivation pour le jeune homme de 23 ans, qui après avoir chuté dans ses deux
premières descentes aux Jeux de Pyeongchang, devait tout donner à la dernière. La
médaille d’argent fut pour lui.
« La
réussite ne se trouve pas dans la meilleure des places, la plus haute ou la
plus payante, mais dans le maximum qu’on peut tirer de soi-même. »
Renaud Tremblay
Papa Fitzsou, vers l’âge de
neuf ans, travaillait à l’étable quand il vit passer un avion. Se disant que
s’il pouvait apprendre l’anglais, il pourrait peut-être lui aussi, un jour piloter
un avion (dans les années ’30, en aviation, tout se passait en
anglais).
Il franchit les étapes une à une et finit par y arriver quelques vingt ans plus
tard.
« Peu importe le succès, il
s’agit d’être grand, non de le paraître. » Romain
Rolland
Quant à moi, mes 9 ans se sont
déroulés pendant l’année de l’expo 67.
Je m’amusais à ramasser les bouchons de liqueur représentant les différents
pavillons. Si mon souvenir est bon, je m’en étais fait une ceinture (que je
vous entende rire...).
Qu’est-ce que j’avais comme rêve ou
ambition? Aucune idée. Peut-être inconsciemment devenir designer de mode?
Bricoleuse professionnelle? Environnementaliste? Allez savoir!
Et
vous, de quoi rêviez-vous à 9 ans?...
crédit photo: https://i.ebayimg.com/00/s/MzJYMzI=/z/cU0AAOSwzhRZjNGA/$_35.JPG
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