J’en
ai fait ce torride été. Des séances souvent biquotidiennes. À la volée, avec quelques
entraîneurs de passage, mais un seul assidu et patient.
L’Ami Mam.
En
passant, encore mille fois
merci !!!
En
2018, j’ai repris du service et adopté la pratique du tennis comme activité
migratoire!
J’avais besoin de me changer
les idées. De bouger. De remplir quelque peu mon agenda dégarni. J’y voyais pleins
d’avantages, peu d’inconvénient.
J’ai fouillé jusqu’au tréfonds
de mon sac à motivation pour en trouver en réduction. L’aubaine en valait la
peine. J’y ai mis le paquet. De balle en balle. De coups droits en revers.
J’ai dû magasiner :
espadrilles appropriées, raquette légère et bien entendu, quelques balles.
Des
roses. Pour encourager la recherche sur le cancer du sein. Parce
que dans la famille, ça déjà touché. Pas rose
par féminisme. « Hommes, vous pouvez
les utiliser, même si ce n’est pas dans les règles de l’étiquette
britannique… »
J’ai travaillé fort dans les
coins. Embroché plus d’une jaune.
Couru de tous bords tous côtés. Je me suis penchée, et repenchée. Répété les
mouvements sans jamais atteindre cette foutue fluidité, qui s’entête à me tenir
tête…
Tout comme je m’entête…
J’ignore où tout ça me mènera.
Assurément, ni à Wimbledon ni à la Coupe
Rogers.
Juste
quelque part entre la satisfaction personnelle, une vision optimale de santé,
le plaisir et quelques nouveaux Amis…
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