Tiens, pourquoi ce titre d’une
nouvelle à la une de La Presse.ca me préoccupe-t-il ce matin? Est-ce parce qu’en
mai 2011 je m’y trouvais avec une gang de joyeux lurons?
Ou…
Parce qu’à ce moment, nous avions
eu la grâce de vivre et découvrir une infime partie d’un Beijing sous un rare ciel
bleu?
Ou…
Parce qu’une toute petite parcelle
de moi serait restée accrochée entre deux pierres « déjointées » d’un
sentier non-restauré-non-touristique de la Grande Muraille?
Peut-être bien... Tout ce qui
précède…
Peut-être aussi parce qu’hier
à l’émission « Découvertes » on parlait du réchauffement de la planète,
de la possibilité de voir s’assécher les réserves d’eau potable, ou d’être inondée
par les océans…
Je me sens concernée. Interpellée…
Que puis-je poser comme geste anodin, qui pourrait faire une différence pour plus
tard?
Qui pourrait faire en sorte que
nos arrière-arrière-petits-enfants ne meurent pas de soif…
Commentaires
J'emploie la technique "sauve qui peut" du Nunavik...
Vous devez vous en souvenir M. Le Factotum?...
Bon soleil! ;-)