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The fighter

Cinéma ce soir... Je déteste la boxe... vraiment, littéralement, indubitablement...

Devinez quel était le film?

L'histoire vraie de deux frères... dont l'un occupe une plus grande part du coeur de sa gérante de Maman... Le Jeunot en arrache mais finit par prendre sa place...

Mais que de violence, de coups, de coups bas... Je ne comprends pas, comment d'une part on peut préparer et faire des activités pour dénoncer la violence à tous les niveaux, et d'autre part aimer ce genre de... pas d'activité... pas de sport... pas de loisir...

Au fait, vous le savez vous, dans quelle catégorie on peut "logiquement" classer la boxe? Moi je n'y arrive pas...

Mon coeur sensible d'Ange... fort probablement!...

Croyez-le ou non, j'en ai eu les larmes aux yeux à plusieurs reprises de constater tant de brutalité... pour le plaisir?...

Et en quittant le cinéma, devinez ce que faisait dans le hall, la dizaine de jeunes venus visionner le film?...

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

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