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Trop tard pour être vrai!


Ben voilà! J’ai encore une fois exagéré sur le pain béni, comme aurait dit ma mère!... Il est très tard moins le quart, ma valise n’est pas bouclée, et je suis à pianoter sur ce clavier…

Il faut croire que j’ai de bien drôles de priorités… Mais en même temps, je me dis, quant à être réveillée dans deux-trois heures… autant être déjà debout!!!...(insomnies obligent…)

Non, farce à part, je vous laisse ce coucou avant de fermer, et ma valise et mes yeux, sur ce jeudi qui m’aura apporté finalement de belles surprises : tout d’abord, une volée de « ptarmigan », ces jolies perdrix blanches à queues noires, qui ont pris leur envol sous mes yeux (et ceux de Stella espèce de caniche blanchâtre qui m’accompagnait dans ma marche) ce matin!…

Drôle le cacassement qu’elles font…

Puis ce soir, je quitte mon appartement pour un souper avec M. Le Factotum quand, rendue à l’Auberge, j’aperçois le profil trop bien connu de mon Ex-Bof…

Incroyable! Nous cumulons à ce jour, un trois dans trois!... Trois fois qu’il se pointe à Kuujjuaq depuis que j’y demeure, trois fois je le croise!

Si ce n’est pas de l’adon ça, Messieurs, Dames! À ce rythme, on se sera bientôt croisé plus souvent ici, dans le Moyen Nord, que du temps où nous fûmes apparentés!!!

Curieuse vie!...

Le cinéma fut donc remplacé par un excellent souper en plus qu’agréable compagnie…

L’art de faire un choix d’ange quand ça se présente!...

photo: "Trop tard pour être vrai"... Winnipeg, février 2011


Commentaires

Zoreilles a dit…
Wow! Jolie photo urbaine... et rencontres encore plus formidables! De quoi meubler de belles images toutes les insomnies...

Le soleil se lève au Nord, je l'ai toujours dit ;o)
Zoreilles, de ce temps-là, je préfèrerais que mes images restent sagement à attendre le matin, et me laissent dormir un peu!!!!

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

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« … Ce jour-là, dès que sa voix s’était élevée pure et assurée, par-delà le chœur de la cathédrale, j’avais pris ma décision. Cette jeune chanteuse qui   présenterait un spectacle pour ramasser des fonds pour financer son premier album, et bien… je serais du nombre qui irait l’encourager au sous-sol de la petite église de St-Mathieu-d’Harricana!    Et c’est avec l’Amie Tweety que j’irais! ( c’est même elle qui s’est occupée de l’achat des billets!… )  Vendredi soir, dix-neuf heures trente. La salle est pleine. On refuse du monde. Question d’assurances. Ça jase. Je revois des figures connues, reconnues. Placés à l’avant, devant nous, les enfants de l 'Artiste , et ceux d’un couple d’amis. Tout ce beau monde est assis directement par terre. Par choix. Et les pieds se balancent de gauche à droite, en des semblants de pantins désarticulés. Les mots sont lancés. Chantés. Clamés. Poésie du moment, odes à l’Abitibi. Aisance sur scène. Assurance d 'une méne...