Passer au contenu principal

Palace Royal...

... ou inspiration médiévale pour un Ange dans une chambre de Princesse!... (photos suivront aussitôt que je me serai procurée des piles pour ma caméra qui a décidé de bouder la splendeur des lustres, l'opulence des espaces et l'originalité des balcons s'ouvrant sur les dix étages du Palace Royal...)

Wow! Je suis à Québec depuis vendredi soir. J'ai atterri chez mon Amie LouP chez qui j'ai séjourné jusqu'à cet après-midi...

Et chez-elle, mon portable a définitivement refusé de se brancher sur son réseau sans fil... ce qui explique mon silence des derniers jours...

Mais j'ai lancé quelques mots que je vous lancerai à mon tour demain, dans des paragraphes qui se voudront plus ordonnés et organisés...

Tout ce que je peux vous dire, c'est que j'ai vécu de merveilleux moments, que j'ai fait de belles rencontres (dont celle de mon Ami Jeannot le Madelinot!...)

Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier