... qui s’est présenté sous un ciel d’azur, a cheminé en compagnie d’un soleil explosant de bonne humeur et qui a atteint son apogée en même temps que moi, la porte d’entrée du « 290 »...
... où je me suis rivée les ailes... et pas à peu près! Je vous introduis...
Depuis mon arrivée, j’ai toutes les misères du monde à « tirer la chevillette pour que la bobinette cherre »... de la première des trois portes ouvrant sur mon appartement... Jamais barrée, rarement fermée, ce soir je m’y présente, toute fière d’avoir cumulé dans ma journée une belle heure et vingt minutes de marche!
Curieusement, des clés pendouillent dans la serrure de la dite porte...
Je m’entends héler:
« Ça fait vingt minutes que j’essaie de débarrer cette foutue porte » me lance une Jolie Jeune Femme aux grands yeux verts remplis de fureur.
« Je sais, moi aussi j’éprouve souvent des difficultés » que je lui réponds, me pensant intérieurement un peu plus « fine » qu’elle, sachant que jusqu’à présent, je suis toujours parvenue à la faire « cherrer »...
Mal m’en pris: et d’essayer, encore et encore, pendant au moins... Une vingtaine de minutes?... Impossible de la faire bouger ne serait-ce que d’un mince poil de phoque...
Émilie me dit avoir rejoint quelqu’un à la Régie... J’offre de retourner au « dépanneur », faire une nouvelle tentative...
Le « dépanneur »! Ce fameux « dépanneur » à la douteuse vocation enveloppé d’un manteau de mystère...
« Je vais entrer là-dedans... Moi?... » que je me dis tout bas...
Ben oui je suis entrée là-dedans moi! Et vous savez ce que j’y ai vu?
... Et bien des chips, de la liqueur, du lait, du pain...
... Mais quoi d’autre je m’attendais à y trouver?...
(dénouement: Un Confrère est venu nous ouvrir à 18:00 et a réparé par la même occasion la porte d’entrée qui parfois ouvre et parfois reste fermée parce que le bâtiment travaille (tu vois, c’est comme dans ta chambre mon Grand!...).
Conclusion: Jamais plus je ne me penserai plus « fine » qu’une autre!!!)
... où je me suis rivée les ailes... et pas à peu près! Je vous introduis...
Depuis mon arrivée, j’ai toutes les misères du monde à « tirer la chevillette pour que la bobinette cherre »... de la première des trois portes ouvrant sur mon appartement... Jamais barrée, rarement fermée, ce soir je m’y présente, toute fière d’avoir cumulé dans ma journée une belle heure et vingt minutes de marche!
Curieusement, des clés pendouillent dans la serrure de la dite porte...
Je m’entends héler:
« Ça fait vingt minutes que j’essaie de débarrer cette foutue porte » me lance une Jolie Jeune Femme aux grands yeux verts remplis de fureur.
« Je sais, moi aussi j’éprouve souvent des difficultés » que je lui réponds, me pensant intérieurement un peu plus « fine » qu’elle, sachant que jusqu’à présent, je suis toujours parvenue à la faire « cherrer »...
Mal m’en pris: et d’essayer, encore et encore, pendant au moins... Une vingtaine de minutes?... Impossible de la faire bouger ne serait-ce que d’un mince poil de phoque...
Émilie me dit avoir rejoint quelqu’un à la Régie... J’offre de retourner au « dépanneur », faire une nouvelle tentative...
Le « dépanneur »! Ce fameux « dépanneur » à la douteuse vocation enveloppé d’un manteau de mystère...
« Je vais entrer là-dedans... Moi?... » que je me dis tout bas...
Ben oui je suis entrée là-dedans moi! Et vous savez ce que j’y ai vu?
... Et bien des chips, de la liqueur, du lait, du pain...
... Mais quoi d’autre je m’attendais à y trouver?...
(dénouement: Un Confrère est venu nous ouvrir à 18:00 et a réparé par la même occasion la porte d’entrée qui parfois ouvre et parfois reste fermée parce que le bâtiment travaille (tu vois, c’est comme dans ta chambre mon Grand!...).
Conclusion: Jamais plus je ne me penserai plus « fine » qu’une autre!!!)
Commentaires
Ouin, quoique des chips, du lait, du pain puis de la liqueur, c'est passitempire et au moins, ça engage à rien (et ça ronfle pas...).
:O)