En prenant ma marche ce midi, une plaque transparente s’est brusquement glissée sous mes pas... Résultat: une phénoménale chute, doublée d’une hyper extension de mon (encore et toujours...) genou droit!
Et tout ça, à peine quelques secondes après le beau « bonjour bleuté » d’un cycliste (oui, oui! À vélo dans la neige!)...
Meurtrie à part égale dans mon orgueil et dans mon corps, je poursuivis ma route, faisant fi de la douleur qui fustigeait la partie interne de cette « pliure » .
Après tout, si j’étais à faire Compostelle, c’est ce que j’aurais fait (enfin je crois...)
J’ai réalisé que je suis drôlement loin pour ce genre de blessure: me semble m’en aller travailler le matin, en béquilles, dans la neige jusqu’aux... genoux!... Me déplacer sans véhicule, sans Meilleure Amie à appeler ou un Bon Cousin à déranger... Mon épicerie, la poste, la caisse...
Autant oublier le mal et poursuivre ma « quête » en boitillant!... Ou en volant!...
Tout devient relatif ici: impensable de se plaindre, de vouloir s’arrêter. C’est comme un engrenage, une espèce de cercle dont on ne se sort pas aisément...
La vie continue d’égrener son « temps », quel qu’il soit...
Par contre, il y a tous ces bons moments : comme ce soir, je suis à bouffer de la dinde, pommes de terre, tourtière, petits pois et atocas, en écoutant des airs de Noël au fm-Montréal classique 99.5! J’ai piqué mon assiette, pour $12.00, à l’activité de l’école primaire. Il y avait foule: une sorte de marché aux puces, des bricolages fabriqués par les enfants, des assiettes de desserts et... j’y ai vu le Père Noël (le Vrai, bien sûr!).
Je commence à m’arrêter pour saluer des connaissances et faire un brin de jasette... Au gym, j’y ai même rencontrer le réalisateur du documentaire que je m’apprête à aller voir... Mon ancien beau-frère!
Que le monde est petit, non?
Et tout ça, à peine quelques secondes après le beau « bonjour bleuté » d’un cycliste (oui, oui! À vélo dans la neige!)...
Meurtrie à part égale dans mon orgueil et dans mon corps, je poursuivis ma route, faisant fi de la douleur qui fustigeait la partie interne de cette « pliure » .
Après tout, si j’étais à faire Compostelle, c’est ce que j’aurais fait (enfin je crois...)
J’ai réalisé que je suis drôlement loin pour ce genre de blessure: me semble m’en aller travailler le matin, en béquilles, dans la neige jusqu’aux... genoux!... Me déplacer sans véhicule, sans Meilleure Amie à appeler ou un Bon Cousin à déranger... Mon épicerie, la poste, la caisse...
Autant oublier le mal et poursuivre ma « quête » en boitillant!... Ou en volant!...
Tout devient relatif ici: impensable de se plaindre, de vouloir s’arrêter. C’est comme un engrenage, une espèce de cercle dont on ne se sort pas aisément...
La vie continue d’égrener son « temps », quel qu’il soit...
Par contre, il y a tous ces bons moments : comme ce soir, je suis à bouffer de la dinde, pommes de terre, tourtière, petits pois et atocas, en écoutant des airs de Noël au fm-Montréal classique 99.5! J’ai piqué mon assiette, pour $12.00, à l’activité de l’école primaire. Il y avait foule: une sorte de marché aux puces, des bricolages fabriqués par les enfants, des assiettes de desserts et... j’y ai vu le Père Noël (le Vrai, bien sûr!).
Je commence à m’arrêter pour saluer des connaissances et faire un brin de jasette... Au gym, j’y ai même rencontrer le réalisateur du documentaire que je m’apprête à aller voir... Mon ancien beau-frère!
Que le monde est petit, non?
Commentaires
Tu sais, je parie qu'à Noël, tu connaîtras presque tout le monde. Il te faudra un agenda pour planifier tous tes cafés, lunchs, sorties et balades.
On parie?
:O)
... et tu exagères un peu: je ne connaîtrai pas tout le monde et mon côté sauvageonne m'empêchera sûrement d'accepter moult invitations... mais qui sait...