... je suis présentement virtuellement absente!... Suis partie en escapade au Témiscamingue, avec ma Bonne Amie G. et ce depuis vendredi midi! J’ai abusé des pouvoirs « magiques » de ce que ce curieux système me permet de faire...
... vous êtes présentement en train de lire, ce que j’ai écrit à 00:28, dans la nuit de vendredi!!...
Oh! Ne me grondez pas!... Je sais que j’ai dépassé (et de beaucoup...), mon heure de coucher... Mais je tenais tout de même à respecter « mon » propre pacte...
... et je n’étais toujours pas pour vous refiler, pour une troisième fois, copie d’un texte que je n’aurais pas composé!...
L’heure tardive s’explique tant qu’à elle, en partie parce que j’ai participé à une conversation téléphonique « allongée » (ce jeudi soir!...), laquelle, en aucun temps, je n’aurais voulu abréger afin de mieux me préparer à mon départ...
Chaque évènement existe, selon moi, parce qu’il a sa raison d’être... Je me suis donc laissée prendre au jeu des mots qui naissent, virevoltent, flottent un instant dans l’absolu néant, avant de glisser doucement sur les voiles de la confidence...
(... merci à toi, l’Ami, d’avoir osé faire ce vol avec moi... Je comprends que sur les ailes d’un ange, ce n’est pas toujours aussi évident qu’il n’en paraît...)
Promis, demain j’y serai... en vraie de vraie!...
... vous êtes présentement en train de lire, ce que j’ai écrit à 00:28, dans la nuit de vendredi!!...
Oh! Ne me grondez pas!... Je sais que j’ai dépassé (et de beaucoup...), mon heure de coucher... Mais je tenais tout de même à respecter « mon » propre pacte...
... et je n’étais toujours pas pour vous refiler, pour une troisième fois, copie d’un texte que je n’aurais pas composé!...
L’heure tardive s’explique tant qu’à elle, en partie parce que j’ai participé à une conversation téléphonique « allongée » (ce jeudi soir!...), laquelle, en aucun temps, je n’aurais voulu abréger afin de mieux me préparer à mon départ...
Chaque évènement existe, selon moi, parce qu’il a sa raison d’être... Je me suis donc laissée prendre au jeu des mots qui naissent, virevoltent, flottent un instant dans l’absolu néant, avant de glisser doucement sur les voiles de la confidence...
(... merci à toi, l’Ami, d’avoir osé faire ce vol avec moi... Je comprends que sur les ailes d’un ange, ce n’est pas toujours aussi évident qu’il n’en paraît...)
Promis, demain j’y serai... en vraie de vraie!...
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