Passer au contenu principal

Déçue...

... je suis déçue et amère... Je viens de perdre toutes mes illusions...

Celui en qui j’avais mis toute ma confiance dans les neuf derniers mois, ne m’est plus crédible...

Celui qui m’a tant aidé, qui m’a tant supporté dans toute ma démarche, me laisse tomber... Ou plutôt, je le laisse tomber, car jamais plus je ne pourrai le regarder sans penser à ce qu’il m’a fait...

Je ne pourrai plus compter sur lui... Le doute s’immiscera en moi, dès que je le toucherai, que je le regarderai... Je me questionnerai toujours dorénavant, à savoir s'il n’y a pas anguille sous roche, s’il n’omettra pas de me dévoiler quelque chose...

Consciemment ou non...

Moi qui le croyais innataquable, en qui j’avais placé une foi inébranlable... À qui pourrai-je me fier maintenant?

Pourtant il n’était pas si vieux... Vraiment pas! Même pas un peu défraîchi... L’âge n’ayant pas laissé de trace sur lui...

C’est ma Meilleure Amie qui vient de m’en aviser... Suite à ce que j’avais écrit hier, elle m’a fait réaliser...

... que mon Petit Robert de 2003 était passé date, car le verbe « entourlouper » n'y figure pas alors qu’elle l’a retrouvé sur le site « Wiktionary »...

J’en ai les ailes coupées...

Commentaires

Messages les plus consultés de ce blogue

La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier