Je suis littéralement (une fois de plus...) vannée! Après une harassante journée de travail, j’ai eu l’irrésistible et folle envie de m’enfuir... N’importe où, avec n’importe qui, n’importe comment, n’importe quand...
... pour un instant, quelques heures, le temps de reprendre un peu mon souffle...
Le « où » fut le P’tit Nord et le « qui »... mon Méo! Le « comment » fut avec mon Petit Escape et le « quand » fut ...
... MAINTENANT!
C’est ainsi qu’en quittant le travail, je passai rapidement à la maison, y ramasser quelques victuailles et je pris direction St-Dominique, la musique de Ian Kelly jouant à tue-tête. Et pendant que je roulais, un balai cérébral imaginaire s’occupa de me débarrasser de ce filet de mélancolie qui avait réussi à m’attraper entre la ville et mon rang...
Le P’tit Nord m’accueillit à bras ouverts. Je traversai ce qui reste de la forêt et atteignis rapidement mon P’tit Camp... La première chose que je vis, me fit vraiment sourire... Mon Bon Cousin s’est ingénié à me fabriquer de belles marches en rondins pour accéder à ma galerie avant.
WOW! Quel cadeau venu du ciel! Mille merci à toi, une fois de plus...
L’effet lénifiant* de l’environnement fut immédiat... Je pris mon repas à l’extérieur en écoutant le vent jouer avec les feuilles des trembles. Le temps passa trop vite... Je repris le chemin du retour...
La chasse visuelle fut bonne: au deuxième pont, un lynx m’a escorté un petit moment. Et entre les premières habitations de la route 804, deux orignaux (dont un panaché...) prenaient leur marche du soir en plein milieu du rang.
Hum! Quels imprudents!...
Ils n’auront pas toujours la chance d’avoir un ange comme spectateur...
*calmant, apaisant
... pour un instant, quelques heures, le temps de reprendre un peu mon souffle...
Le « où » fut le P’tit Nord et le « qui »... mon Méo! Le « comment » fut avec mon Petit Escape et le « quand » fut ...
... MAINTENANT!
C’est ainsi qu’en quittant le travail, je passai rapidement à la maison, y ramasser quelques victuailles et je pris direction St-Dominique, la musique de Ian Kelly jouant à tue-tête. Et pendant que je roulais, un balai cérébral imaginaire s’occupa de me débarrasser de ce filet de mélancolie qui avait réussi à m’attraper entre la ville et mon rang...
Le P’tit Nord m’accueillit à bras ouverts. Je traversai ce qui reste de la forêt et atteignis rapidement mon P’tit Camp... La première chose que je vis, me fit vraiment sourire... Mon Bon Cousin s’est ingénié à me fabriquer de belles marches en rondins pour accéder à ma galerie avant.
WOW! Quel cadeau venu du ciel! Mille merci à toi, une fois de plus...
L’effet lénifiant* de l’environnement fut immédiat... Je pris mon repas à l’extérieur en écoutant le vent jouer avec les feuilles des trembles. Le temps passa trop vite... Je repris le chemin du retour...
La chasse visuelle fut bonne: au deuxième pont, un lynx m’a escorté un petit moment. Et entre les premières habitations de la route 804, deux orignaux (dont un panaché...) prenaient leur marche du soir en plein milieu du rang.
Hum! Quels imprudents!...
Ils n’auront pas toujours la chance d’avoir un ange comme spectateur...
*calmant, apaisant
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