« … Pour moi, le défi était de taille. En partie parce que
j’étais en déficit de courage pour affronter dans la plus grande simplicité, certains
Amis habitant les bois.
Devinez lesquels???...
Après une journée bien remplie, quand le soleil se fit timide,
j’ai tamisé l’éclairage. La vieille lampe à l’huile léguée par Papa Fitzsou (et qui avait passé l’hiver à l’extérieur
sans broncher), a repris du service…
Sans ronchonner. Comme une bonne vieille Amie…
Sans ronchonner. Comme une bonne vieille Amie…
Sous un « espace-musique », j’ai ralenti mon
rythme cardiaque et calmé mon système nerveux jusqu’à sombrer dans les bras de
Morphée (à défaut de quelque
Prince Charmant égaré…).
J’ai armé le « système-imaginaire»… ;-)
Les souris ont fait
silence, pour une rare fois.
Malgré la moiteur de la nuit, j’ai dormi comme une
marmotte (ayant tous les
muscles de son corps endoloris par le travail ardu d’une pionnière-en-herbe…).
Heureuse,
je réalisais que j’avais relevé le « défi » haut la main!
"Check!"
Quelques
heures à peine plus tard, je redevenais citadine… »
Commentaires
Si tu es willing un moment donné, on pourrait aller passer un jour ou deux au camp... qu'en penses-tu? Une bouffe, un livre et... ouin... on pourrait attendre après le Temps des moustiques... y'en a en tabarouette!!! Me suis faite manger tout rond! ;-)
Ta lampe à l'huile, cadeau de ton papa Fitzsou, est tout simplement magnifique, c'est un trésor.
De même que l'oiseau rare.
C'est chouette chez vous.
L'oiseau rare avait été déniché à Knowlton en Estrie il y a belle lurette de cela!