La marche a ravivé mes esprits et chassé la fatigue résultant des longues heures de route...
Je fus accueillie à mon arrivée au Gîte du Village par une gentille dame, infirmière de surcroît.
Quelle heureuse coïncidence!
Ça ne s’arrête pas là. Lorsque j’entendis son charmant accent chantant, je me mis à lui baragouiner dans une langue de Shakespeare un peu malmenée, le but de mon passage dans sa ville.
Et bien cette dame connaissait Kuujjuaq pour y avoir travaillé auprès d’un patient requérant un enseignement face à ses traitements de dialyse péritonéale.
Décidément!
J’ai cru comprendre que là-bas, il existait une grande solidarité entre travailleurs de toutes professions. Elle m’en a parlé avec beaucoup d’enthousiasme.
Rassurant!...
Mes pas m’ont porté jusqu’au Restaurant Kenny où je dégustai des moules - frites apprêtées à l’indienne (!)... La deuxième fois de ma vie que j’en mange. La première c’était chez mon Amie Orthophoniste Belge: je dois avouer que malgré qu’il y ait quelques vingt ans de cela, je peux affirmer que celles dégustées à Landrienne n’avait rien à envier à celles englouties ce soir...
Assise devant la fenêtre face à la rue Queen, j’écris, je jongle... J’écoute les conversations qui s’envolent en sourdine... en même temps que les vieilles balades du genre « Killing me softly with his song »...
"... la rencontre de demain est prévue pour 9 heures 30... Après, je ne sais pas... Je me laisserai porter par le vent et le temps, en ouvrant grand mes ailes et mon coeur...
... Tout d’un coup... "
Je fus accueillie à mon arrivée au Gîte du Village par une gentille dame, infirmière de surcroît.
Quelle heureuse coïncidence!
Ça ne s’arrête pas là. Lorsque j’entendis son charmant accent chantant, je me mis à lui baragouiner dans une langue de Shakespeare un peu malmenée, le but de mon passage dans sa ville.
Et bien cette dame connaissait Kuujjuaq pour y avoir travaillé auprès d’un patient requérant un enseignement face à ses traitements de dialyse péritonéale.
Décidément!
J’ai cru comprendre que là-bas, il existait une grande solidarité entre travailleurs de toutes professions. Elle m’en a parlé avec beaucoup d’enthousiasme.
Rassurant!...
Mes pas m’ont porté jusqu’au Restaurant Kenny où je dégustai des moules - frites apprêtées à l’indienne (!)... La deuxième fois de ma vie que j’en mange. La première c’était chez mon Amie Orthophoniste Belge: je dois avouer que malgré qu’il y ait quelques vingt ans de cela, je peux affirmer que celles dégustées à Landrienne n’avait rien à envier à celles englouties ce soir...
Assise devant la fenêtre face à la rue Queen, j’écris, je jongle... J’écoute les conversations qui s’envolent en sourdine... en même temps que les vieilles balades du genre « Killing me softly with his song »...
"... la rencontre de demain est prévue pour 9 heures 30... Après, je ne sais pas... Je me laisserai porter par le vent et le temps, en ouvrant grand mes ailes et mon coeur...
... Tout d’un coup... "
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