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J’ai encore rêvé…



« … J’étais entourée de tous les membres de ma petite famille, jeunes. Nous étions sur le site de la Base Figuery. Par je ne sais quel hasard, j’étais grimpée sur le toit d’un bâtiment et j’étais incapable d’en descendre. La panique s’emparait tranquillement de moi,  jusqu’à ce que…
 
… ayant demandé de l’aide et en attendant que mon Grand escalade une poutre pour venir à ma rencontre, voilà que je me retourne et que j’aperçois sur l’un des côtés, une succession de grosses pièces de bois placées comme une grande volée de marches…   

Facile… Puis…

… Il fallait préparer le matériel pour aller au camp de chasse, dans le bois. C’est le Temps où ma petite Douceur-ma-Belle en a profité pour se faufiler sous le bâtiment pour y mettre le feu… Je l’ai chicanée… Je lui disais « qu’elle devait comprendre que ce qu’elle avait fait était très dangereux… » J’ai insisté… Puis… »

Je ne me souviens pas comment cette histoire loufoque s’est terminée… 

Ou peut-être, que je ne veux simplement pas vous la raconter???...

Commentaires

Le factotum a dit…
Les rêves aussi forment la jeunesse.
Zoreilles a dit…
Je souris au commentaire du Factotum, c'est tout à fait ce que j'allais écrire!

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier