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Ben là…



J’ai sauté mon tour hier... pour écrire un petit quelque chose, s'entend, étant revenue trop tard d’une visite chez mes Amis les Ro. 
 
C’est que nous en avions des choses à nous raconter, d’un bord comme de l’autre. Mais bon… Là, les mises à jour sont faites, la Vie peut continuer à dérouler son fil au gré du Temps…

On reprendra ça un autre tantôt…

Et là… 

Je me sens un peu pressée de lancer ces lignes car je me sais attendue à Rouyn-Noranda chez ma Chum Gaä. J’irai crécher chez-elle et son Amoureux, le Temps de quelques bonnes bouffes et de longues placotes pour là aussi, mettre nos pendules à l’heure.

Je n’ai qu’une expression qui me trotte dans la tête ce matin :

 « Comme la Vie est belle quand on la laisse dérouler ses moments sans attente précise. »

Hum… Alors, simplement, je dis « Merci… »…

À samedi soir!
"Merci la Vie!", Amos, avril 2015

Commentaires

Le factotum a dit…
Pour la photo, très bon choix.
M.Le Factotum, aviez-vous reconnu les messages codés d'Om Gaya???...
;-)

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

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« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier