Lors de mon dernier
passage en Abitibi, ma Bonne Amie G s’était empressée de « caller la shot »
et de réunir six femmes merveilleuses, à qui le cœur vaillant n’avait rien d’impossible…
Histoire de me donner ce coup de main dont j’avais tant besoin…
À nous sept (Ghi, Fran, Lou, Nat, Ra, Li et moi-même),
et en moins de temps qu’il n’en fallut pour le dire, nous avions frotté et fait
briller toute la maison. Elles avaient même réussi lors du repas partagé, à me
faire miroiter quelques rêves d’avenir…
Fallait le faire!
Je les ai surnommées mes « Dames Blanchecampagne ». Il n’est
pas question ici de les affubler d’un nom aux consonances hivernales, loin de là.
C’est un simple plagia de celle connue sous le nom de « Madame
Blancheville », celle qui nettoie à fond. Mais comme moi je demeur…ais… en campagne…
Demeurais…
Le 68 du Chemin Dénommé passera
une fois de plus, entre d’autres mains. Il sera bien temps de lui faire mes
adieux, en temps et lieux, quand la mi-juillet et la fête des Français, frapperont
à sa porte.
D’ici là, je dois « focusser »
sur les mots « entrepôt », « empaquetage », « déménagement »...
Mais quand même pas avant d’avoir fait passer au passé, les neuf dodos restant
avant d’aller une fois de plus, donner un coup de main à l’équipe médicale
attitrée aux jeunes du CEDEQ au Lac Trois-Saumons, de passer un week-end à
Rimouski, de me traîner les pieds dans quelques villages du Bas du Fleuve, de
saluer ma Bonne Fée, d’arrêter prendre un café chez Tante M à Gore, de faire un
saut chez Cousine C de St-Jérôme, de…
(curieusement, cela faisait 4 ans
aujourd’hui que j’en étais l’unique propriétaire… comme le temps passe vite…)
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