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L’Ami Pat



« … Aurais-je pu tourner la page sur ce voyage sans glisser un mot sur l’Ami Rimouskois qui fut le semeur-de-projet de ce voyage à Boston? 

NON! Oh que NON!...

Pat et moi, on se connaît depuis la Chine. C’était au printemps 2011 (2011 Pat, pas 2012…). Un trek humanitaire sur la Grande Muraille pour ramasser des fonds pour Diabète Québec.

Vous vous souviendrez que plus tôt en juillet, j’avais cassé la croûte avec lui dans un resto branché de Rimouski. Me racontant ce Boston depuis longtemps rêvé, il avait tendu la perche à savoir si ça m’intéresserait de l’accompagner.

Comme j’ai comme résolution 2016 de « ne refuser aucune proposition raisonnable »… me voilà assise à ses côtés dans le bus blanc et bleu de Bell Horizon, sur le chemin du retour mettant ainsi fin à notre escapade américaine.

On pourra donc ajouter aux Beijing, Edmundston, Cabano, Québec, Montréal, Rimouski, Mont Olivine, les trottoirs de Boston, Newport et Cambridge sur lesquels on aura déambulé tous les deux.

Merci pour l’invitation Ami Pat. Tu es le meilleur compagnon de voyage que j’ai eu la chance de côtoyer à ce jour.

Pis après… on va où???... »
« L’Ami Pat à Boston », septembre 2016

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

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