Pour
ne pas perdre le fil de mes p’tits bonheurs au quotidien, un beau soir de
vacances, j’ai écrit…
« …
Je me suis posée chez ma Chum G de Rouyn et son Amoureux R, le temps d’un court
moment. Nous nous sommes retrouvés comme si nous nous étions vus dans le hier,
toute amitié confondue…
Le Bonheur avec un grand « B »…
Les
heures n’en finirent plus de nous entendre jaser, partager les derniers mois,
les bons comme les mauvais moments...
Dans
la petite maison où le soleil, sans gêne, s’infiltre par le moindre interstice,
j’aurais adopté sans autre tergiversation le petit hall d’entrée et sa bergère à
oreillettes. J’y ai lu quelques pages de J.K. * et fermé les yeux quand les
paupières se firent trop lourdes. J’ai bu un litre de tisanes parfumées, flatté
le nez de la belle Mouffe, constaté de visu l’atmosphère de complicité, d’amour,
de respect mutuel et de camaraderie, flottant en permanence dans l’air du petit
logis aux Grands Cœurs de la rue Perreault…
N’eut
été de ce « Cher menteur »** croisé en soirée, j’aurais pu imaginer
que la vie pouvait vraiment être, aussi simple que cela… »
Addenda :
Merci à toi l’Amie M (amie de ma Chum G) d’Être une fervente assidue de ces
écrits…
* J.K.
Rowling
**
« Cher menteur » avec Albert Millaire et Louise Marleau
"Zénitude Rouynale", Rouyn-Noranda, avril 2014 |
Commentaires
J'aime bien madame Marleau.
Avez-vous apprécié la pièce?
Albert Millaire lui, était fidèle à lui-même. Mais l'âge courbe insidieusement son dos...