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C...GRV


" La chose en laquelle vous croyez finit toujours par se produire; et la croyance en une chose est ce qui la fait se produire..."
Frank Lloyd Wright

Photo « Mes Cinq Grands Rêves de Vie », Kuujjuaq, octobre 2011

Commentaires

Zoreilles a dit…
Sage réflexion...

Moi, j'ai toujours dit à ma fille, un peu en boutade, mais il y avait un fond de vérité : « Fais attention à quoi tu rêves parce que tu vas finir par le réaliser! », ce qui rejoint tout à fait ta pensée du jour.

Un petit coucou en passant, pour te dire bonjour, et t'informer du même coup que j'ai eu le bonheur, pendant le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue, de rencontrer pour vrai Monsieur Le Factotum. On a eu une bonne pensée amicale pour toi lors de notre courte mais agréable jasette.

;o)
Coucou à toi! Si je savais quand je serai à Rouyn pour y voir ma Chum G je te dirais "On va aller prendre un café"...
Hum... mais j'ai ton no... Il se pourrait fort bien que...
Bonne journée! xo

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La rivière-du-Loup...

Des smel' et des pommet' des as de piq' Des rav' et des carot' des manch' de piq' D'la fleur d'la poch' d'avoin' des souliers d'boeuf Des fill' et des garçons heureux Elle a un trou ma marmite, Elle a un trou par-dessous La rivière-du-Loup est large, large La rivière-du-Loup est large partout!... Des smel' et des pommet' des as de piq'............ Elle a deux trous ma marmite, Elle a deux trous par-dessous... (clin d'oeil à mon Amie So de Kuujjuaq-Rivière-du-Loup et à l'Ami Pat de Rimouski, à qui j'ai cassé les oreilles pendant quelques kilomètres entre Rimouski et L'Islet-sur-Mer, en février dernier...) ;-)

Eau et écorce: l'affaire est chocolat!

« … J’avais prévu le coup : l’alarme devait m’extirper de mon sommeil avant même que l’aube ne se pointe. Il y allait de la qualité de l’eau… 3 :45h- Ça en était terminé de ma nuit de rêves sans fin. Il était Temps de sauter dans mon jean et d’enfiler un coton ouaté. Pâques m’attendait… 4 :20h- J’arrivai un peu à l’avance. Les lieux étaient déserts si ce n’était un véhicule à l’aile gauche drôlement cabossée, garé sur le bas côté.  Je saluai le jeune homme qui remontait la pente chargé d’un « jelly can » que je présumai, pleine d’eau de Pâques. En échange, je reçus un discret signe de tête. Pourtant, je me disais que pour croire à cette tradition, il devait y avoir un brin de folie en lui non?... Ça ne m’a pas semblé être le cas. Peut-être était-il beaucoup trop tard pour lui plutôt que beaucoup trop tôt?...  Peu importe… Mes Amis se pointèrent vers 4 :30. À tour de rôle, on prit une gorgée de l’eau...

Paul Piché - L'escalier