… quand le temps est
triste…
Drôle de titre, un peu
noir ou plutôt gris, comme le ciel. Toute la journée fut une fausse ritournelle
de passages ensoleillés entrecoupés de pluie plate tombant à averse l’espace de
quelques minutes à toutes les… quelques minutes!!!…
Je n’avais pas d’autre
plan que celui de ne rien faire de tout le week-end. Je m’étais votée le repos
complet, histoire de me donner une pause après les envolées des derniers jours
passés.
J’en profitai pour faire quelques
appels, semant des messages ici et là, voulant donner des nouvelles. Le long
week-end de congé avait dû faire fuir vers d’autres ailleurs mes contacts. Seul
un Papa Fitzsou, sorti abruptement de sa sieste, réussit à me jaser comme au bon
vieux temps, en termes de « temps », mais ses propos étaient tristes à
mourir… Lourds de sens et de non-dits… dits…
Après l’avoir raccroché à
la vie, le soleil a pointé quelques rayons au-travers de la grisaille. Ça me
rappelait que même si on ne le voyait pas, il était toujours là, un peu comme
tous ces gens que l’on n’a pas nécessairement en tout temps sous les yeux mais
qui sont en tout temps dans nos cœurs…
L’espérance de vie de ce
dimanche tire à sa fin. Demain pour moi ne sera pas congé mais me rapprochera d’un
autre rêve fou que je serai à même de réaliser d’ici une « couple »
de semaines… Je vous raconterai le moment venu…
Regard tourné vers l' "à venir"..., Grande-Entrée, juillet 2013 |
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